A partir du 12 juin 2012, les œuvres du peintre américain Edward Hopper, occuperont une place prépondérante au Musée Thyssen de la capitale. C’est la première exposition d’envergure consacrée à un artiste à l’échelle européenne et c’est l’occasion unique d’apprécier les tableaux les plus célèbres et les plus audacieuses.

Grâce à cette exposition, les visiteurs de la Thyssen pourront parcourir la vie de Hopper, depuis son premier voyage à Paris en 1907, découvrant et se passionnant pour la peinture européenne jusqu’à la fin de ses jours. Il y a 70 œuvres de cet artiste au total, 40 d’entre elles créés en pleine maturité à l’exemple que «Maison au bord de la voie ferrée» ou «Gaz», exposées au musée MOMA de New York.

Edward Hopper a visionné beaucoup de films pendant de nombreuses années, mais après 50 ans, les rôles s’inversent, en commençant par les films d’Hitchcock qui s’inspirent des travaux du peintre. “Psychose”, par exemple, est inspiré par la peinture “Maison au bord du chemin de fer,” que nous venons de mentionner. Par ailleurs, ses peintures inspirent même les poètes américains qui évoquent les paysages de Hopper dans leurs œuvres.

Edward Hopper n’est pas intéressé par la peinture de l’avant-garde comme Matisse ou Picasso, mais des artistes tels que Albert Marquet, Félix Valloton Walter Sickert, qui sont reflétées dans chacune des pièces de l’exposition. Il est quasiment un peintre lyrique. Il n’a pas vendu un seul tableau jusqu’à 43 ans. Pour cette raison, les commissaires de cette exposition ont décidé de diviser son oeuvre en deux et faire une comparaison de ses débuts avec son triomphe final.

Nous allons connaître un peu la vie de Hopper. Il est né à Nyack, une petite ville sur le fleuve Hudson, au sein d’une famille bourgeoise. Il est entré très tôt en 1900 dans la “New York School of Art”, une importante école qui a formé d’autres artistes de l’art américain, comme Rockwell Kent et George Bellows. Elle a accueilli également 3 enseignants qui sont au cœur de son oeuvre. Nous parlons de William Merritt Chase, Kenneth H. Miller et de Robert Henri. Il a appris d’eux une peinture nette et propre, organisée dans une composition spatiale et parfaitement ordonnée.

Il se mit à voyager et pour s’inspirer d’autres sources. En 1906, il a voyagé en Europe pour la première fois, il s’est rendu à Paris et a rencontré le langage des impressionnistes. Quelque temps plus tard il a visité d’autres capitales européennes: Berlin, Bruxelles et Paris.

Il a acquis son langage lors de son second voyage à Paris où il créa “Saint-Germain” et “Fontainebleau”. Il a un contact avec Degas lors de son troisième voyage et grâce à lui, il perfectionne sa technique. Son périple en 1910 l’emmène en Espagne attiré par les grands artistes du moment comme Picasso, Monet, Manet, Daumier, Toulouse-Lautrec et Courbet. Il a connu bien évidemment le travail de Goya. Il était un fervent admirateur.

Comment arriver au Musée Thyssen? Les stations de Métro les plus proches sont Banco de España ou Sevilla. Il est situé au Paseo del Prado (à proximité de la Place de Cibeles), implanté dans le même site que le Musée Reina Sofía et du Prado (plus connus comme le triangle des musées).

DianaRPretel

Il vous suffit de louer l’un des appartements à Madrid pour visiter l’exposition de Edward Hopper au Musée Thyssen de Madrid. A ne pas manquer!

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Madrid est une ville avec des endroits idéaux pour un film et a été utilisée plusieurs fois pour faire des films d’Hollywood qui ont fait le tour du monde. Pour que vous remarquiez chaque recoin où des stras de cinéma sont passées, nous vous raconterons quels sont les films qui ont été filmés dans cette ville.

Vous ne vous imaginez pas en traversant la Puerta de Alcalá qu’on y a filmé quelques scènes de Spartacus de Stanley Kubrick, produit en 1960 et interprété par Kirk Douglas, Lawrence Olivier, John Gavin, Jean Simmons et Tony Curtis. Le film traitait de l’esclave rebelle et humaniste, incarné par le grand et beau Douglas. Ce film a gagné quatre oscars et s’est maintenu à l’affiche très longtemps.

Le Docteur Jivago, une adaptation du roman du même nom de Boris Pasternak réalise en 1965. Dirigé par David Lean et interprété par Omar Sharif, Julie Christie et Géraldine Chaplin. A été filmé principalement à Madrid, même si l’action se passe à Moscou. Les scènes qui supposément se passent à Moscou ont été enregistrées rue Silvano, en arrivant au cimetière de Canillas, qui était alors un terrain vague où on a construit 20 mille mètres carrés de scénographie qui recréait la capitale russe, avec des trams prêtes par l’Entreprise Municipale de Transports. La Gare Delicias est une autre zone où ont été enregistré des scènes. Il y a une anecdote cocasse qui parle du tournage des scènes où les bolchéviques marchaient en chantant l’Internationale dans les rues de Madrid, face à quoi beaucoup de gens qui ne savaient pas ce qui se filmait, ont cru que Franco avait été renversé et sont sortis pour le célébrer. L’écrivain Slavoj Zizek parle de cette erreur politique amusante dans son livre Qui a dit totalitarisme. Le film a eu un grand succès et est restée à l’affiche pendant 4 ans.

La Chute de l’Empire Romain (1964), est une autre production hollywoodienne avec des éléments épiques arrangés avec une romance. Sophia Loren, Stephen Boyd et Alec Guinness y travaillent et il a été filmé à Madrid.

Les 55 Jours de Pékin a été filmé à Madrid et plus de 500 extras espagnols ont été embauchés pour cette production, malgré que le film se situait en Chine en 1900, lorsque se produit une révolution nationaliste et on essaie d’expulser au colonialisme des étrangers qui s’étaient divisé le territoire chinois.

Charlton Heston joue le rôle d’un marin qui tombe amoureux d’une baronne russe, interprétée par Ava Gadner, dans le feu de la résistance au siège chinois dans la zone des ambassades de Pékin. Ce film appartient aux superproductions de Hollywood qui ont été réalisées pendant les années 60 , avec des budgets importants, beaucoup d’artistes bien payés, des costumes de grande valeur et de grandes stars Tous ces films se maintenaient à l’affiche pendant des années pour amortir les inversions énormes.

Pour plus d’information: https://listas.20minutos.es/lista/rodajes-de-hollywood-en-suelo-espanol-245231/

Nancy Guzman

Profitez de vacances de film dans un des appartements à Madrid et oubliez la crise pendant quelques jours. Vous pourrez ainsi soupeser le futur avec plus de lucidité.

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L’enfance durant les années 1970 ramène les souvenirs de ces après-midis où le domicile parental était rempli de femmes qui tenaient des réunions tupperware où l’on présentait différents produits mis en vente après avoir démontré les avantages d’un grille-pain, d’un tel aspirateur, ou d’un produit cosmétique dans la vie d’une femme moderne. Ces événements ponctuels étaient importants pour un enfant, surtout pour un enfant au début de son adolescence. Lors de ces réunions ponctuelles, il y régnait une ambiance secrète, une certaine attitude désinvolte dans le comportement des femmes, par exemple dans le comportement de la mère d’un tel, le fait d’interdire l’accès au salon pendant quelques heures, l’absence apparente des hommes dans l’appartement, les allées et venues des plateaux, les éclats de rires, des cendriers, les regards complices, des tasses, des sourires et des verres étaient des signes évidents de ce qui intéressait réellement les femmes n’était pas l’achat de certains produits mais de gagner un peu d’argent représentant ainsi une certaine idée d’indépendance dans un monde où la domination masculine était étouffante.

D’où l’importance sociologique de ces réunions exclusivement féminines qui en quelque sorte créaient des liens de solidarité et le soutien entre les participantes pour contrer les alliances forgées par les hommes à l’extérieur; dans leurs clubs, les cafés, lors des manifestations sportives ou des réunions. Par ailleurs, très probablement, la sensualité et l’érotisme omniprésent dans ces gynécées modernes propices aux aveux dans un univers intemporel et, comme en dehors de la société, il était possible de trouver des formes d’expression d’un désir et de pulsions naturelles souvent bâillonnée.

Dans ce contexte, les produits Tupperware représentaient en quelque sorte des instruments fétichistes d’un plaisir secret dont la vraie nature était toujours cryptée et à la portée de ces femmes. Même les crèmes, les parfums et les dessous féminins, destinés à plaire au mari, étaient une forme de se rebeller. Les enfants appuyaient leur têtes contre la porte pour entendre ce que les femmes racontaient.

Il n’est pas étonnant de voir l’existence des Tuppersex qui représentent une version moderne de ces réunions (https://www.tuppersexenmadrid.es/Reuniones_tuppersex_en_Madrid/Tuppersex_en_Madrid.html) où l’on explique le fonctionnement de différents jouets érotiques et d’ustensiles érotiques ainsi que des conseils pour améliorer les rapports sexuels.

Paul Oilzum

Il y a de plus en plus en Espagne des enseignes spécialisées dans la vente d’articles érotiques offrant un éventail de produits en fonction des besoins de chacun. Sortez donc de l’un des appartements à Madrid que vous aurez loué pour agrémenter vos soirées.

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Si vous appréciez le théâtre musical (ou opérette), vous serez servis!, puisque les Théâtres du Canal de Madrid vous offre la possibilité d’assister à l’un des spectacles les plus populaires et attendus de la saison “Candide”.

Si vous ne connaissez pas ce courant théâtral, il faut savoir que le théâtre musical est un sous-genre de l’opéra. L’humour prime dans cet opéra-rock, la satire et les trames pleines d’intrigues, d’absurdités et de chaos. C’était l’opéra du peuple, un spectacle dans lequel les plus humbles des citoyens pouvaient participer à un après-midi de rires, d’humour et de plaisir. Au fil du temps, le genre a évolué sans perdre son essence populaire.

“Candide” a été composée par le grand pianiste, compositeur et chef d’orchestre américain Leonard Bernstein. Il s’est basé sur une histoire originale écrite au XVIIIe siècle par Voltaire. Il raconte l’histoire de Candide, un disciple du docteur Pangloss. Le mentor instruit son élève et vous fait comprendre et apprécier la bonté et la bonne foi dans tout ce qui l’entoure. Tout est empreint d’optimisme sous le regard de Candide, qui, avec sa petite amie Cunégonde et le docteur Pangloss entament un voyage extravagant à travers le monde. Au cours de ce voyage, le personnage principal se retrouve dans des situations qui mettent à l’épreuve leur façon d’appréhender la vie à savoir la méchanceté, l’envie, l’égoïsme et la souffrance qui croisent leur chemin. Comment Candide réagit face à ces situations? Pourra-t-il assumer la réalité des situations qui se produisent? L’oeuvre est pleine de scripts avec du double sens, beaucoup d’ironie, de la satire et une musique phénoménale qui est le fil conducteur de tout le spectacle.

La personne qui dirige ”Candide” dans cette nouvelle adaptation conduite en Espagne n’est d’autre que le célèbre Paco Mir. Acteur, producteur, scénariste, metteur en scène et producteur, ce catalan est très bien connu pour faire partie du mythique trio humoristique Tricicle. Mais son activité incessante dans le milieu des arts du spectacle l’a conduit à diriger des pièces comme “Políticament incorrecte” ou “Le Dîner de cons.” Cette fois-ci les acteurs principaux sont Antoni Comas, Jordi Bosch et Maria Rey-Joly et compte avec une troupe de plus de 15 acteurs impliqués dans le travail.

Vous pourrez assister à des spectacles de “Candide” dans les Théâtres du Canal à Madrid les 11, 14, 16 et 18 mars prochains. La réservation des billets d’entrée pour l’une des séances programmées a déjà commencé. Vous pouvez acquérir vos billets sur ​​le web http://www.teatroscanal.com/users/comprar-entradas.aspx?code=71367. Le prix des billets oscillent entre 24 € pour le moins chers et 40 € pour un siège situé sur l’auditorium principal.

Fernando Paterna

Profitant de votre séjour dans la capitale pour assister à l’opérette “Candide”, nous vous recommandons de visiter la ville. logement Madrid est de plus en plus utilisé comme une alternative aux hôtels et aux auberges de jeunesse.

Lorsque George Lucas a inventé le concept de Star Wars et tout l’idéologie ou la philosophie du monde Jedi, peut-être ne s’imaginait-il pas que sa plus grande création, née d’une fusion du bouddhisme, des arts martiaux et de la miséricorde chrétienne, deviendrait le nom emblématique de l’un des groupes les plus provocants la scène Hip Hop internationale. Une question se pose: que s’est-il passé pour que Jedi Mind Tricks utilise ce nom connaissant les politiques de l’entreprise de “Georgie”? L’entreprise Star Wars continue sans l’ombre d’un doute de s’accroître et n’a pas de frontières. Leurs produits occupent les quatre coins de la planète en différentes langues et les jouets continuent d’être vendus en série et se renouvèlent presque tous les ans afin que les collectionneurs puissent dépenser presque tous les mois.

Mais qu’est-ce exactement un “Jedi Mind Trick”? Définissons-le avant de présenter le groupe. Un “Jedi Mind Trick” est le pouvoir que possèdent les Jedis pour convaincre, comme cela est évoqué dans le film, ceux qui ne sont pas “privilégiés” ou qui n’ont pas une intelligence “développée” de faire ce que les Jedis leur dit de faire. Par un simple geste, un Jedi peut faire en sorte qu’une personne oublie ses documents, s’arrêtent de se droguer, de changer de vie afin que les portes puissent s’ouvrir. Bien évidemment, ces astuces ne fonctionnent pas avec ceux qui sont très intelligents ou qui appartiennent à une autre “race” différente de l’espèce humaine. Il semble que les Jedis pourraient être de vrais politiciens de droite et, convaincre avec leurs pouvoirs des changements “positifs” que le monde pourrait connaître, grâce à la conviction, l’hypnose et le conditionnement. Est-ce qu’il y aurait des politiciens Jedis? Le néolibéralisme serait-il la solution? Un mystère que George Lucas devrait résoudre.

Au-delà de la “Georgie”, de Star Wars, et de tout ce qui vient avec, Jedi Mind Tricks est l’un des groupes Hip Hop les plus importants de l’actualité et ils savent ce qu’ils font. Avec des rythmes hypnotiques, des effets de lumière, des synthés recréant une atmosphère subtile et des paroles provocatrices, les Jedi Mind Tricks ont beaucoup à dire et à faire dans une galaxie qui méprise le Hip Hop international. Ce duo formé à Philadelphie dans les années 1990 garde toujours le même concept en contestant le système à travers des textes politiques qui suscitent la controverse. Leur album le plus récent s’intitule «Violence Begets Violence” et nous vous conseillons de consulter sur Internet la controverse qu’a déclenché son téléchargement illégale le jour de sa sortie. Une leçon de morale Jedi? Vous pourrez voir les Jedi Mind Tricks en concert à la Sala Pénélope de Madrid le 5 Mars. Pour de plus amples d’informations, visitez leur site internet: https://www.jmthiphop.com/

Alexa Ray

Réservez l’un des appartements à Madrid et profitez d’un très bon concert. Madrid a beaucoup à offrir pour ses nuits de mars, en attendant l’arrivée du printemps et des événements de plus grande importance.

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S’approcher d’une peinture du 19ème siècle est sans aucun doute une expérience unique. Surtout considérant que nous vivons une époque ou l’image est toujours plus digitale, ou elle dépasse les frontières de l’utilité, se convertissant comme un des objets culte du 21ème siècle. A partir de celle-ci, nous interprétons des idées, des contextes, des discours, des sensations. Avec la rapidité de l’information, beaucoup d’entre elles sont éphémères quand elles ne sont pas considérées intéressantes. Mais la vérité est qu’elle n’est jamais totalement effacée parce qu’elle reste toujours gravée dans une pensée, une idée, comme information, ou encore comme code d’expression. Le problème est la quantité, et la rapidité à laquelle elles défilent, ce qui fait que nous nous sentons quelque fois dépassé.

Un exercice aidant à comprendre ceci est de tenter d’écrire quelque chose après avoir passer un certain temps face à un ordinateur. Concentrez-vous sur le mouvement de votre main, et ne pensez pas à écrire des lettres, mais faites le à un rythme soutenu. Réalisant ce test, vous vous rendrez compte que la rapidité de vos mains ne fonctionnent pas aussi rapidement que vos pensées, que certaines lettres viennent à manquer quand vous désirez écrire. Ce n’est en aucun cas un manque d’attention, mais simplement la réalité digitale, les processus de transmissions de la connaissance qui vont toujours plus vite, et qui continueront toujours plus rapidement jusqu’à la substitution de l’écriture, de la peinture, et du dessin.

Durant cette accélération technologique vertigineuse, la rencontre avec une peinture de Chagall par exemple est un luxe, une expérience nous ramenant à un passé fictif, duquel nous sommes toujours moins en relation. A partir de l’engrenage néolibéral dans lequel la conduite globale  se tord, et se retord, cette période de laquelle nous désirons sortir mais paraissons tous bloqués, crispés par le lien face à cette superficie en huile, en toile, en bois, de couleurs, résultant être un marché, une collection, un produit, qui s’accumule dans une galerie, dans un musée, pour ensuite figurer sur le marché artistique. Au-dessus de tout cela, en appréciant la transcendance artistique de Chagall, les supports de ses toiles sont des matériaux pas digitaux,mais bien les traces d’un sujet dans sa plus pur expression, un sujet décentré, géographiquement, politiquement, ou philosophique de notre époque.

L’exposition de Marc Chagall présentée à Madrid à partir du 14 Février au Musée Thyssen-Bornemisza, et à la fondation Caja Madrid, est la première grande exposition rétrospective de cet artiste en Espagne. Au Musée Thyssen-Bornemisza, vous pourrez trouver les meilleurs travaux de ce fabuleux artiste durant ses séjours à Paris et en Russie durant la période révolutionnaire jusqu’à son exil aux états-unis durant les années 40. D’une autre manière, les salles de la fondation Caja Madrid, présenteront le travail de l’artiste réalisé au US. Il sera possible de voir des peintures, des sculptures, des vitraux, et des céramiques, 

Pour de plus amples informations: https://www.museothyssen.org/thyssen/ficha_artista/153

Alexa Ray

Louez appartements à Madrid et allez découvrir ses Musées, et ses Galeries. Madrid est une destination fondamentale pour tous passionnés d0arts moderne, et contemporain.

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L’Espagne recèle des trésors en ce qui concerne sa cuisine. Ses fortes saveurs et ses spécialités régionales offrent de nombreuses saveurs reflétant son histoire et le mélange des cultures à travers la colonisation. Sa cuisine méditerranéenne intègre les saveurs exotiques de l’Afrique du Nord et de l’Amérique donnant un goût unique à la cuisine espagnole.

Pour que vous puissiez profiter de votre séjour à Madrid, voici les meilleurs plats à goûter absolument.

Si vous souhaitez savourer un merveilleux mélange qui combine les saveurs méditerranéennes et de nombreuses autres régions de l’Espagne, goûtez à la célèbre paella, un plat typique de Valence qui est devenu l’un des standards de la bonne cuisine espagnole. Il se prépare dans un plat spécial pour que le riz, l’aliment de base, puisse cuire sans cramer. Elle contient du porc, des fruits de mer, des légumes et des épices en quantité équilibrée. On y ajoute de l’huile d’olive qui ne peut pas manquer dans n’importe quelle recette espagnole.

Le Cocido Madrileño (le ragoût de Madrid) est un plat à goûter absolument. Il s’agit d’un ragoût préparé avec des légumes divers, des pois chiches, des saucisses, du poulet et du veau. La préparation n’est pas difficile, mais la durée de la cuisson prend un certain temps. Faites cuire la viande, puis ajouter le poulet et les pois chiches, et enfin les saucisses avec des légumes. Quand tout est en train de cuire, préparez la pelota, une pâte à pain trempé, ajoutez de l’ail et du persil que l’on passe par la farine avant de les frire. On ajoute les pelotitas au ragoût.

Les Tapas o Pinchos, comme l’appellent les Basques. C’est un standard de la gastronomie espagnole. Cette recette frugale est élaborée avec un morceau de pain, des légumes, des fruits de mer, de la viande, du caviar, et une variété incroyable d’ingrédients qui sont ajoutés aux sauces. La présentation et la couleur de ce plat en font un entremet succulent. En plus des tapas, ce n’est que le début et non le plat principal.

Le Gazpacho est une recette prestigieuse en Espagne et connue dans le monde entier pour sa saveur, sa fraîcheur inégalée et sa présentation raffinée. Il s’agit d’une soupe froide typique de la région de l’Andalousie, qui est préparé avec des tomates, des concombres, de l’ail, de l’huile d’olive, du poivre et du sel, le tout broyé et mélangé.

La Tortilla de Patatas, connue sous la dénomination d’omelette espagnole, est un plat populaire qui est présente toutes les tables d’Espagne. Elle est préparée avec des pommes de terre, de l’huile d’olive, des œufs et du sel. Il y a des régions qui ajoutent d’autres ingrédients, en plus des pommes de terre.

Pour les desserts, il y a le classique riz au lait, le nougat, la crème brulée, la crème anglaise ou les beignets à la pomme ou de potiron, parmi des centaines de recettes régionales que vous peuvez trouver dans les restaurants spécialisés de Madrid.

Nancy Guzman

Pour apprécier les saveurs de l’Espagne, il vous suffit de louer l’un des appartements à Madrid et de profiter au maximum des bons restaurants que propose cette ville.

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Le Centro Dramatique National présente au théâtre Maria Guerrero de Madrid l’une de ses productions les plus ambitieuses et élaborée, “Lumières de Bohème” de Valle-Inclan. Lluís Homar, acteur et metteur en scène, se charge de la direction. Tout au long de sa carrière, il a participé à des œuvres majeures comme «Hamlet», «Les Trois Sœurs» et «Le Misanthrope de Molière.”

Pour ceux qui n’ont pas encore entendu parler de cette oeuvre, “Lumières de Bohème” est le titre d’une des pièces de théâtre espagnole les plus importantes du XXe siècle puisqu’elle a conduit à la création d’un genre entièrement nouveau, le grotesque. Valle-Inclan crée le grotesque à partir de personnages et de scènes dégradés qui nous transmettent une façon déformée d’appréhender la vie et nous présente également des personnages déformés. Des lieux de perdition, des tavernes, des bordels, des maisons sordides ou des rues dangereuses sont quelques-uns des scénarios typiques du grotesque et ses personnages sont souvent ivres, des mendiants et des artistes ratés comme dans “Lumières de Bohème” qui est censé refléter la vie d’Alejandro Sawa . Aveugle, Sawa a laissé un livre de poèmes inédits à sa mort. Cette histoire d’une vie tragique est utilisée par Valle-Inclan pour donner vie à l’histoire de Max Estrella.

Mais ce n’est qu’à travers la cruauté et l’amertume du grotesque que nous pouvons apprécier des moments de tendresse et la nudité des personnages qui n’ont plus aucun espoir et, par conséquent, font part de leur naïveté.

Nous découvrons dans «Lumières de Bohème” comment Max Estrella nous dépeint, à travers son apathie, l’injustice et l’oppression de la société envers certains de ses habitants, octroyant une ambiance responsable de l’état de décrépitude de ces êtres humains.

La scène XII est où l’on trouve quelques phrases-clés de l’oeuvre comme «Les héros classiques reflétés dans lso sont les miroirs concaves du grotesque” ou “Les plus belles images dans un miroir concave sont absurdes”.

Les personnages interprétés par Enric Benavent, Gonzalo de Castro, Gonzalo Cunill ou Miguel Rellán entre autres, évoquent comment des personnes réelles se bousculent de forme brutale en criant. Le spectateur est vite plongé dans une histoire qui impressionne par son propre réalisme. Ne manquez pas l’un des spectacles les plus surprenants de la saison.

Cette pièce est produite par le Centro Dramatico Nacional, créé par l’Institut National des Arts Scéniques et la Musique, qui a été fondé en 1978 et cherche à répandre et à consolider les divers courants du théâtre espagnol contemporain.

Nous pourrons apprécier “Lumières de Bohème » au théâtre Maria Guerrero de Madrid tout le mois de février jusqu’au 25 mars, tous les mardis et les samedis à partir de 20 h et les dimanches une heure plus tôt. Le prix du billet oscillent entre 13 et 18 euros selon l’emplacement.

Site internet de l’oeuvre: https://cdn.mcu.es/index.php/es/Temporada_actual/Maria_Guerrero/16/

Fernando Paterna

Une fois de plus, il vous suffit de louer l’un des appartements à Madrid pour profiter d’une ou deux semaines de vacances pour assister à l’une de ces pièces de théâtre impressionnantes comme «Lumières de Bohème” et d’autres manifestations culturelles. La location d’appartements pour quelques jours est une alternative aux hôtels, c’est à la mode et moins cher, donc vous n’avez plus aucune excuse.

Le psycho-analyste Carl  G.Jung a défini les mandalas comme un code de communication avec les archétypes de l’inconscient collectif. Signifiant centre, et totalité en sanskrit. Carmen Merchan, auteur du livre Mandalas de lumière, parleront de ceux-ci à Madrid le 17 Février dans ces conférences “le symbolisme guérisseur des Mandalas”

Carmen est un chamane ayant étudiant ces connaissances avec des maitres de l’Inde, et Egypt, et de villages ruraux en Bolivie, Brésil, Mexique, et Pérou, acquérant des connaissances se transformant depuis des millénaires à travers l’oralité, et les dessins sur les roches, textiles, ou céramiques. Aujourd’hui, elle fait partie des professionnelles travaillant sur la protection de l’Institut Intégral de Thérapies, et Enseignement Energétiques (ITIEE). La guérison holistique, l’astrologie, et le tarot sont entre ses habilités. 
Dans l’oeuvre Psychologie, et Alchimie, de Jung, publié en 1943, il est possible de trouver un chapitre qui porte le nom de “LE symbolisme des Mandalas”

Jung travailla sur une sélection de 400 rêves “de Mandala”. parole qui désigne le cercle rituel ou magique qui spécialement du lamaïsme, et aussi du Yoga tantrique utilisé comme Yantra, ceci est, comme un instrument de contemplation”. Il raconte qu’en 1938, en un monastère, un lama lui expliqua que le Mandala est une image mentale qui ne peut être construit par l’imagination d’un lama illustré”. Il raconte aussi quelle vrai Mandala es celui qui se construit intérieurement avec l’imagination.

Il serait long d’insister pour montrer directement comme Jung utilisait les mandalas thérapeutiques, mais le vendredi 17 Février ò Madrid, à 18:30, aura lieu une conférence gratuite de Carmen Merchàn sur la thématique : “Le symbolisme guérisseur des Mandalas”. Au VCTeam a été crée avec l’objectif de proportionner un point de rencontre entre qui offre des cours, des ateliers, ainsi que des conférences gratuites sur différents thèmes en relation avec le développement personnel.

L’adresse de cette conférence est: Isaac Peral 2 – 1º (Metro Moncloa) et le téléphone (+34) 91 549 6126. Pour de plus amples informations : https://www.vcteam.es/conferencias

Vauzzayin

Si vous visitez Madrid entres amis et désirez louer un des appartements à Madrid vous pourrez ensuite aller découvrir le livre de Jung “Psychologie, et Alchimie” et vous rendre ensuite à la conférence de Carmen Merchàn

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Bien qu’elles soient souvent la cible facile d’une certaine catégorie de snobs tant de la musique que du théâtre prétendument sérieux, il est sûr que les comédies musicales possèdent un pouvoir de fascination difficilement dédaignable pour tout ceux qui ont vaincu leurs préjudices et ont eu la chance d’assister à une des représentations.

Mais indépendamment de la qualité de la production, la comédie musicale constitue, de plus d’un point de vue, un phénomène qui représente quelques unes des caractéristiques les plus essentielles et attractives des arts de la scène, commençant par le principe de suspension de l’incrédulité. Tout ce qui se produit dans une comédie musicale, que ce soit absurde ou peu réaliste, est accepté de la part du public sans protestation et sans scandale, et en toute vraisemblance se réfère à l’une des plus anciennes des conventions dramatiques, ce qui ouvre un étonnant éventail de possibilités pour l’illusion et le jeu qui devient énormément attractif tant pour le spectateur que pour les artistes du théâtre. Si nous ajoutons à cela le spectaculaire déploiement de moyens qui accompagne souvent ce genre et une sensibilité contemporaine s’apparentant aux moyens artistiques de notre temps, nous pouvons affirmer sans aucune hésitation que la contemplation d’une bonne comédie musicale peut être comparable en intensité, en profondeur et en émotions à celle de toute autre manifestation théâtrale, toute vêtue de haute culture qu’elle soit.

Depuis au moins une décade, la Grande Via madrilène a fermement opté pour les comédies musicales avec la chimérique intention de pouvoir un jour concurrencer avec la qualité et la variété d’offres du West End londonien. Bien sûr la scène urbaine pourrait difficilement être plus propice. Parmi les comédies musicales que le visiteur pourra voir en janvier se distingue particulièrement la représentation au Théâtre Lope de Vega (Gran Vía, 57) de la production originale du Roi Lion de Julie Taymor. Sous sa direction, il s’agit d’un des grands évènements théâtraux des dix dernières années.

Des Classiques aussi, d’autrefois, tels que Chicago, un des grands succès des années quatre vingt dix popularisé au maximum par sa version cinématographique stellaire qui peut être vu dans le Nouveau Théâtre Alcalá (Jorge Juan, 62), avec une distribution dirigée par le magnétique Manuel Bandera, et Hair (Théâtre Arteria Coliseum, Gran Vía,78) la comédie musicale par excellence des années soixante, et de pertinence particulière il y a Acuario avec tant d’espérances depuis plus de quarante ans.

Finalement, pour ceux qui préfèrent s’incliner devant la saveur locale, au théâtre Rialto (Gran Vía, 54) Más de 100 mentiras (Plus de 100 mensonges) utilise les chansons de l’acclamé Joaquín Sabina pour tisser une histoire de certaines teintes noir poussée par l’amour, la vengeance et l’amitié.

Paul Oilzum

Quand vous louerez des appartements à Madrid au mois de janvier, vainquez vos préjudices s’il vous en reste et osez profiter, si vous choisissez bien, de l’incomparable pouvoir de séduction que peut avoir une bonne comédie musicale.

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Traduit par: Stephanie BLISSON
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