Band of Horses est un des groupes qui promut l’indie rock folk avec un son du sud des Etats Unis. Le groupe est né en 2004 à Seattle créé par Ben Bridwell et actuellement le groupe est aussi formé de Ryan Monroe, Tyler Ramsey, Bill Reynolds et Creighton Barrett.

Le groupe commença très rapidement à se faire remarquer par les maisons de disques et par les fans. Mais ce fut en 2006 avec la sortie de leur album Everything All Time, avec la formation original, qu’ils atteignirent réellement la célébrité.

Leur premier album contenait la chanson “The Funeral” qui fut utilisé non seulement pour des publicités mais aussi pour des émissions de télévision, des jeux vidéo et des films. Grâce à cela Band of Horses devint rapidement célèbre et fut invité à différente émissions de télévision vu par des millions de personnes dans tous les Etats Unis.

Leur deuxième album Cease To Begin a eut aussi beaucoup de succès. Pour enregistrer cet album, après avoir été en tournée dans le monde entier, le groupe décida de retourner dans son village natal pour pouvoir vivre comme avant d’être célèbre et pouvoir composé et produire comme avant. Le 18 mai ils lancèrent Infinite Arms, un album qu’ils présentent encore dans le monde entier.

Cette fois les artistes de Seattle arriverons en France pour un concert à la Cigale le 26 février.

Plus d’information: https://www.lacigale.fr/

La Cigale: 120 bd Rochechouart, 75018 Paris, Paris, France

MiLK

Si tu veux voir un des groupes d’indie rock folk les plus importants du monde, tu peux louer un des appartements à Paris et ne pas perdre cette opportunité.

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Traduit par: Pablo
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Paris est, sans doute, la capitale de la mode européenne, où se génèrent des plus intéressantes tendances et est le foyer de marques de mode légendaires.

Dans cette ligne, le musée des Arts décoratifs de Paris inaugure « les années 1990 et 2000, histoire de la mode contemporaine », une exposition qui parcourt certaines des tendances les plus importantes de l’histoire de la mode récente.

En commençant par les années 90, qui marquèrent le point d’inflexion et le moment de maturité du marché de la mode, l’exposition présente les propositions stylistiques les plus radicales et avant-gardistes, qui changèrent les paramètres esthétiques jusqu’alors en vigueur. D’entrée, nous rencontrons les dessins incroyables d’Azzedine Alaia et Rei Kawakubo de Comme des Garçons, qui appartiennent indiscutablement au domaine de la mode conceptuelle, avec ses mythiques collections comme par exemple : la bossue, Printemps/été de 1997 de la main de Kawakubo.

Jean-Paul Gaultier ne peut manquer à l’appel, ni Yohi Yamamoto, ni le minimalisme de Helmut Lang et Jil Sander, qui misèrent sur une élégante et sobre simplicité. D’un autre côté opposé, nous trouvons les frénétiques stylistes anglais comme John Galliano, qui commença chez Dior, et l’enfant terrible de la mode Alexander McQueen, dont l’héritage atteste de son incroyable talent.

L’exposition s’est inaugurée le 25 novembre et compte avec une intéressante publication qui parcourt les moments les plus significatifs à partir des années 90.

Pour plus d’informations : https://www.lesartsdecoratifs.fr/francais/mode-et-textile/expositions-70/actuellement-447/les-annees-1990-2000-histoire/

Pour tous les amants de la mode, cette exposition est probablement l’une des plus intéressantes de la saison.



Heloise Battista

Nous vous conseillons donc de louer des appartements à Paris de visiter l’exposition au musée des Arts décoratifs jusqu’au 8 mai et, au passage, vous pourrez vous laisser inspirer par l’incroyable style des rues de la capitale française

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Traduit par: osito
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L’exposition “Chase the Dragon” se réfère à cette première expérience avec les drogues et à la croissante obsession qu’elles provoquent, qui te poussera à chercher ce doux frisson que tu as senti la première fois. Une métaphore qui décrit aussi à la perfection la dépendance que l’artiste peut arriver à sentir avec la peinture. Quand le moment de création devient aussi addictif que la drogue même, et l’artiste offre au monde, pour un instant, un regard vers son intérieur, comme un nuage de fumée qui trace une figure dans l’air, pour aussitôt disparaître.

Maintenant la galerie Magda Danysz de Paris nous présente une exposition qui nous fait pénétrer dans l’excentrique et obsessif monde d’un hétéroclite groupe d’artistes contemporains, qui ne laissera personne indifférent. les images de Larry Clarke, par exemple, légende du cinéma et de la photographie, sont d’un incroyable impact visuel, de même que les expériences créatives du réalisateur Gaspard Noé, en passant par les incroyables pièces de Dado. Ils ont tous en commun leur capacité à t’ébranler et te faire sentir les plus intenses émotions.

D’un autre côté, l’exposition nous présente de jeunes artistes émergents comme Kosta Kulundzic, un peintre qui centre son travail autour de thèmes comme la foi et le mysticisme et notre société produit ses propres mythes et héros. Nous découvrirons également Axel Pahlavi, un peintre iranien qui provoque le spectateur avec ses œuvres réalistes déchirantes et sombres, qui signalent la dichotomie entre la mythologie religieuse et le déclin de la société postmoderne.

L’inauguration de “Chase the Dragon” se célèbrera le 8 janvier dans la galerie Magda Danysz et l’exposition demeurera ouverte au public jusqu’au 26 février 2011.

Pour plus d’information: https://www.magda-gallery.com/en/chase-dragon

Heloise Battista

Si tu ne veux pas rater cette exposition remarquable, loue un des appartements à Paris et profite de l’art déchirant de “Chase the dragon”.

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Traduit par: françoise
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Jusqu’aux 24 décembre la galerie Frank Elbaz de Paris expose l’œuvre du merveilleux artiste américain Wallace Berman, l’un des plus clairs représentants de l’art Beat des années 60 aux États-Unis.

La galerie Frank Elbaz, situé au 7 de la rue Saint Claude, se spécialise dans l’art contemporain et son pari pour Berman, reprend l’œuvre graphique de l’un des artistes les plus iconoclastes de sa génération.

Berman fut une figure légendaire du mouvement beat. Son existence presque d’Hermite, vivant dans une hutte et organisant des expositions à la maison, le converti en un artiste culte de la génération. Mythique et charismatique, on dit de lui qu’il fut l’un des artistes les plus influents de son époque à Los Angeles, au sein du mouvement beat.

Berman donna à l’art plastique de nouveaux concepts esthétiques, en expérimentant de nouveaux matériaux et technologies. Il est né à Sataten Island, à New York. Il étudia à l’école d’art Chouinard, mais il ne termina pas ses études et commença à travailler dans la restauration de meubles antiques.

La génération beat est née après la guerre, au début des années 50, quand l’évaluation des effets d’une guerre nucléaire changea le point de vue de la jeunesse sur la transcendance humaine et quand ce qui était permanent se fit éphémère, sous la pression d’une fin dantesque. Et à partir de ce regard, une nouvelle forme de mode de vie apparaît et commence à critiquer le bien mal nommé « rêve américain ». Ce sont les hipster, ceux qui vont initier une résistance devant le pouvoir que donne la bombe atomique aux États-Unis et sa politique impérialiste sur le monde. Et ce sont les beat qui résistent au système depuis le monde de l’art, la bohème, en voyageant et posant une vision existentialiste très influencée par Jean-Paul Sartre. Ce mouvement a produit d’inégalables écrivains, comme Jack Kerouac, Allen Ginsberg et Williams Borroughs. Le terme beat est employé pour la première fois en 1952 par le New York Times dans un reportage la génération inopérante d’intellectuels et d’artistes appelées « This is a Beat generation ».

Ce regard existentialiste amène Berman à expérimenter de nouvelles formes d’expression de son non-conformisme. Il explore de plastique avec de nouveaux symboles et les influences de la publicité, le résultat étant le collage.

Il utilise ce que la société industrielle offre pour imposer un nouveau langage plastique : la photocopieuse verifax. Ce fut son principal outil artistique jusqu’à sa mort accidentelle en 1976, bien qu’il est aussi utilisé d’autres techniques de création.

C’est de là que naissent les collages verifax, ou il agrandit l’image d’une main qui porte une radio, reprise d’une publicité pour un transistor Sony de 1963, qu’il rencontra par hasard dans une revue, en utilisant un processus similaire à la photographie. Le collage de ton sépia et ses images qui se répètent, dans le style de Warhol, transmettent une sensation de nostalgie, où les images comme dans la mémoire sont les armes de la subjectivité contre la culture de mass media, en se répétant à l’infini.

https://www.galeriefrankelbaz.com/wp/artists/wallace-berman/wallace-berman-show-2010/

Nancy Guzman

Cette œuvre qui représente la vision d’une génération, vous pourrait la voir en décembre si vous avez à Paris. En plus, vous pourrez acheter le catalogue que propose la galerie comme cadeau de Noël à qui vous appréciait le plus et vous pourrez admirer les lumières de la ville, avant d’aller vous reposer dans les appartements à Paris

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Traduit par: osito
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Peintre, graveur et sculpteur, Arman Pierre Fernández est né à Nice en 1928 et est mort à New York en 2005. L’œuvre de ce fils d’espagnol, du côté du père, est un des joyaux de l’art contemporain et le Centre Georges Pompidou l’exhibe jusqu’au 10 janvier 2011.

Initié à la peinture par son père à l’âge de dix ans, Arman a étudie à l’École d’Arts Décoratifs de Nice. En 1947, il connait les peintres Yves Klein et Claude Pascal, avec lesquels il créera le groupe artistique “Triangle”, influencé par la philosophie orientale du Bouddhisme Zen, l’astrologie et l’œuvre de Van Gogh. A partir de ce moment, il signera ses œuvres par son prénom, comme le faisait Van Gogh et passera d’être Arman Pierre Fernández, à Arman tout court.

En 1949 il part étudier l’archéologie à l’École du Louvre, à paris. Dans cette période son œuvre sera influencée par le surréalisme. Des années plus tard, influencé par Kurt Schwitters et Picasso il change les pinceaux par le tampon et s’initie à la gravure sur toile et papier.

À la fin des années 50, la croissance industrielle avec l’augmentation de la consommation et des déchets de la société moderne en résultant, mènent une grande partie des artistes à réfléchir sur la réalité. Inscrit aux Nouveaux Réalistes par le critique d’art Pierre Restany, proche de Duchamp et de Andy Warhol, Arman se joint à la critique de l’ascendant procédé d’industrialisation des années 60 et transforme son art.

Sa ré-interprétation du ready-made de Duchamp, qui transforme l’objet le plus commun en œuvre d’art, est ce qui l’intègre aux Nouveaux Réalistes. Il entre en opposition avec l’expressionnisme abstrait et à l’informalisme. Il suit le sentier ouvert par Rauschenberg et les artistes pop, en exposant l’ère moderne, à travers de l’intervention d’objets qui l’occupent et la définissent: la ville, la machine, l’usine, la consommation et les médias de masse.

Le Nouveaux Réalistes est considéré comme la version européenne du Pop Art, néanmoins, et à différence de ce dernier, il a un contenu et un compromis avec la société.

Arman accumule des déchets, les brûle, les écrase, les coupe et les scie. Il transforme en œuvres d’art des objets d’usage quotidien en dénonçant ainsi la consommation, la guerre, la violence et la marginalisation de milliers d’hommes condamnés à vivre dans les ordures.

C’est la misère de la consommation et sa charge létale qui s’expriment dans ses Poubelles. Ses découpes, ses tas, combustions et inclusions sont pleines de colère et sont l’expression d’un artiste qui façonnait le compromis avec la société dans la quelle il vivait.

Aujourd’hui Paris lui rend hommage dans cette exposition en présentant ses œuvres objet, Les poubelles, La masse critique de l’objet, Colères et coupes, Archéologie du futur, Arman et Renault: art et industrie, correspondent aux six premières salles. Et Je suis de nouveau Peintre, qui est un retour aux origines, quand en 1966 il a commencé à coller des tubes de peinture dans ses œuvres.

Nancy Guzman

Arman est une des exposition qu’on ne peut pas rater si on visite Paris. Après avoir parcouru le Centre Pompidou et regardé sa boutique de souvenirs, on peut se balader, regarder la Seine et observer avec un regard différent la belle ville avant d’aller se reposer dans un des appartements à Paris

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Traduit par: françoise
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Chaque année sortent des dizaines de documentaires sur la faim dans le monde. Comme notre système de production fonctionne mal et que nous gérons mal les ressources énergétiques, ce Noël sort un documentaire contre tous ceux qui alimente ce cercle d’auto destruction, la nécessité que nous croyons vital de manger et de boire.

De ce mode avec son nouveau film, Am Anfang war das Licht, il a peut-être trouvé ce qui pourrait être une chimère.

Il s’agit d’un documentaire thèse qui part d’une idée qui n’a rien de moderne, que l’homme peut s’alimenté de lumière, pour le dire d’une façon simple. D’après le livre de Jassmuheen, Living on light et son propre témoignage le documentaire se rapproche autant à des cas réels et étudiés comme à des cas fictifs. A travers d’un rapide tour du monde, qui part d’Autriche et d’Allemagne, il montre des témoignages autour de ce qui est plus ou moins  normalisé c’est-à-dire l’idée que le corps humain peut arriver à être autosuffisant.

Dans un monastère en chine où l’on ne mange pas, un Yogi en Inde qui ne mange ni ne boit depuis 70 ans, une femme russe qui est traitée de menteuse, et d’autre témoignages allemands. Ils ont tous quelque chose en commun qui explique pourquoi il y a toujours des gens qui meurt de faim, et que ce sont des personnes habituées aux activités spirituelles, comme la méditation.

Il s’agit de que tous le monde ne puisse y arrivé, bien que ce soit faisable, mais le seule faite de le savoir et d’étendre la connaissance de cette possibilité ouvre la porte à des changements dans le système. Am anfang war das Licht est sorti en Autriche en septembre, en octobre en Allemagne et en ce moment seulement est connu la date de sortie en France, le 15 décembre.



Sonia Teruel

Donc si tu es à Paris à partir de cette date, loue un des appartements à Paris et ne perd pas l’opportunité d’être un des premier à voir ce film.

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Traduit par: Pablo
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Encore une fois, la ville lumière sera le scénario de la seconde édition du Paris Vegan Day, le 28 novembre 2010 de 11h00 jusqu’à 23h30 (www.parisveganday.fr), une excellente occasion pour louer un des appartements à Paris.

Durant ce jours, l’accent sera mis sur la promotion de la philosophie vegan, qui n’est pas seulement une façon de manger mais aussi une façon de vivre et un ensemble de pratiques sous le thème “nous sommes ce que nous mangeons”. La culture vegan est basée sur des principes de vie éthique, écologique et saine, mais sans renoncer au plaisir, au goût et à la diversion. L’origine de ces motivations philosophiques et spirituelles remonte au 6^ème siècle, quand le philosophe et mathématiciens Pythagore prononça une exhortation à faveur d’une alimentation sans viande et que ses adeptes formèrent une communauté végétarienne.

Il est indéniable que dans les sociétés occidentales la consommation de viande et de dérivés animaux est irrationnelle, à cause d’une mythique nécessité en protéines qu’il faudrait satisfaire quel qu’en soit le prix, c’est-à-dire par la manipulation et la destruction massive des animaux. Mais aussi la conséquente apparition de maladies (comme la vache folle ou la fièvre aphteuse, et d’autre qui pourrait être dérivée de la manipulation génétique, nous n’avons pas encore assez de recule pour pouvoir affirmer que certains cancers sont dû à ces nouvelles pratiques scientifiques, bien que cela n’étonnerait personnes si s’était le cas). Ces comportements affectent gravement notre santé. Il est prouvé qu’une consommation excessive de viande est une grande erreur alimentaire, menant à l’hypertension et à l’artériosclérose. En plus les personnes qui consomment beaucoup de viande en générale laisse de coté d’autres aliments qui sont nécessaire au bon fonctionnement de l’organisme, qui souffre donc d’un grave déséquilibre nutritionnel ce qui entraine un mauvais fonctionnement de certains organes comme les reins ou le foie. C’est pour cette raison qu’aujourd’hui il y a des millions de personnes dans le monde qui suivent un régime végétariens (sans viande ni poisson) ou végan (sans produits d’origine animal, c’est-à-dire fromage, lait, beurre etc.).

Après le grand succès de la première édition du festival “Paris Vegan Day” en 2009, les organisateurs (Association à but non lucratif “Paris Vegan Day”) décidèrent de faire un autre événement pour honorer la culture vegan, qui progressivement prend de l’importance dans le monde contemporain.

Cette année le festival proposera non seulement une sélection de cuisine, produits, livres et séminaires sur la théorie vegan, mais aussi une longue série d’activités très variés sur différent thèmes, comme par exemple : La mode, la santé, l’athlétisme. Il y aura aussi une incroyable programmation de concerts avec des grands musiciens vegans !

Il y aura aussi une tombola vegan, avec de nombreux lots à gagner tels que dix paniers gourmands d’Un Monde Vegan (50 euros chacun), dix paniers Lush (30 euros chacun), des nuitées en chambre d’hôtes et cours de cuisine au The Gentle Gourmet B&B, un manteau Mademoiselle Pimpante, une pochette Lili Cerine, 5 tee-shirts Justuman, des livres de Sandrine Delorme etc. En parallèle, depuis le 15 avril jusqu’au 1^er novembre fut activé le concours photographique du “Paris Vegan Day” et les photos sélectionnées seront exposées pendant le festival.



menschauser

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Traduit par: Pablo
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Le 2 octobre commença une intéressante exposition photographique au Musé d’art de la Ville de Paris dédié au travail controversé de Larry Clark. Le réalisateur du mythique film Kids (1995) est aussi un remarquable et prolifique photographe, et cette exposition dans la capitale française le prouve. Autant dans son travail comme réalisateur que dans celui de photographe, Clark dédie son œuvre à représenter une jeunesse perdue, la violence et la rébellion.

L’exposition qui s’intitule “Kiss the Past Hello”, présente plus de 200 œuvres du photographe, quelques une d’entre elles sont des pièces inédites qui furent récupérés récemment. Aussi serons présentés les œuvres les plus connus comme par exemple “Tulsa” et “Teenage Lust”. De cette façon l’exposition présente un large éventail du travail de ce photographe, mettant en évidence sa directe et authentique forme de voir l’adolescence avec tous ce qu’elle représente : L’amour, les drogues, la violence et le sexe.

Le Musé d’Art Moderne de la Ville de Paris a causé une grande controverse en prenant la décision d’interdire l’entré de cette exposition aux mineurs de moins de 18 ans. Selon Sébastien Gokalp, commissaires de l’exposition, le musé comme institution publique ne permettre l’accès aux mineurs aux images clairement sexuelles de Clark. De plus la direction du musé craignait de s’affronter à une vague de plaintes de la part de la communauté catholique parisienne. Cependant, étant donné que beaucoup de ces œuvres on déjà été montré dans d’autres musés de renom, certains pensent que cette mesure est trop drastique et craignent qu’elle mette en danger l’expression artistique en France.

Si tu ne veux pas louper cette intéressante exposition et que tu as plus de 18 ans, loue un des appartements à Paris et visite le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris jusqu’au 2 janvier 2011.

Plus d’information sur l’exposition ici :   https://mam.paris.fr/

Nous sommes en 2010 mais encore beaucoup de femmes donnent l’impression de vivre en 1900 et se laissent diriger par des normes obsolètes qui contrôlent leurs vies sexuelles. Elles me rappellent ma grand-mère qui avait peur de dire à son mari qu’elle s’était achetée quelque chose rien que pour elle. Mets-toi à jour pour satisfaire tes besoins et suis ces quelques conseils pour te sentir bien.

L’orgasme féminin est particulier mais pas impossible

On sait tous que ce n’est pas toujours facile pour les femmes d’atteindre le nirvana. Mais il n’y a aucune raison d’en avoir honte. Stonehenge c’était il y a longtemps, tu te souviens ?

Alors pourquoi le cacher à ton partenaire ? S’il est responsable, il se sera sûrement rendu compte qu’il y a un petit problème. Parle de sexe en toute franchise avec lui et tu te rendras compte que votre relation gagnera en confiance. Plus tu as confiance et plus il est facile d’avoir un orgasme. Dis-lui qu’un peu de sexe oral t’excite plus. S’il veut que tu te sentes bien, génial. Si non, rends-toi service et laisse-le tomber. Tu trouveras quelqu’un qui te donnera ta dose de plaisir, les amants sont comme des chaussures, certains te vont à merveille et d’autres non. Quoi que tu fasses, ne fais pas semblant d’avoir un orgasme parce que cela ne fera qu’augmenter son ego et lui fera croire qu’il fait du bon travail quand en réalité il n’a aucune idée de comment te procurer du plaisir.

Les intelligents comprennent

Tu t’inquiètes pour lui, tu veux savoir s’il te comprend ou cela te préoccupe qu’il change d’attitude ? Et bien tu ne devrais pas. Si c’est un homme intelligent, il n’aura aucune difficulté à avoir un dialogue sincère sur votre vie sexuelle. Essayez de passer un bon moment tous les deux. On sait toutes que les hommes ont parfois un orgasme sans trop se fatiguer et qu’ils n’expriment pas toujours leur satisfaction sexuelle par les sentiments comme une femme.

Pense à des choses que tu aimes faire et apprends à atteindre l’orgasme. Arrête de penser un moment à l’amour, aux sentiments et au prince charmant et profite du pur plaisir avec ton partenaire.

Alors que faire?

Tu as bien compris? Le plus important est d’être honnête, avec toi-même et avec ton partenaire. C’est seulement comme ça que tu auras des moments intimes et inoubliables avec ton partenaire. Alors reste calme, il n’y a pas de raison de faire de l’orgasme une course ni une affaire d’état. Crée une ambiance détendue et oublie tes complexes, mais n’oublie pas la lubrification. Propose à ton partenaire d’essayer tout ce que tu aimerais expérimenter.

Si tu penses qu’une ville romantique peut t’aider, Paris sera parfait. Loue Appartements à Paris et fais l’amour jusqu’au nirvana. Bonne chance!

Tous les dimanches a 19h, pas une minute de plus ni de moins, quelques-unes de mes amies se réunissent chez S., une spécialiste de la méditation qui revient d’un voyage en Inde et qu’elles admirent toutes. Un jour, moi aussi je me suis assise par terre, sur ces couvertures colorées, j’ai respiré l’odeur de l’encens, j’ai écouté le silence qui régnait et j’ai commencé à méditer…

Elles m’avaient recommandé de m’habiller en blanc parce que c’est une couleur pure. « Et le bleu, je peux? Bien sur, c’est symbole de tranquillité, c’est bien », me répond l’une d’elles. « Et le marron? Aussi, tout ce qui est dans les tons terre. Ce qui est cependant déconseillé c’est le noir parce qu’il ne laisse pas circuler les énergies ». Alors je me suis présentée tout de blanc vêtue, je ressemblais à une future mariée sans son Prince, quoique l’idée que je sois en blanc des pieds à la tête l’excite…Cette même amie me signala aussi qu’il est préférable que je ne mange pas durant les trois heures précédent la méditation car cela peut provoquer des turbulences intestinales ou déranger l’estomac. D’ailleurs, pendant la session, une faim de loup occupa mes esprits, je mourais d’envie de dévorer des « saloperies ».

Le jour où j’y suis allée, S. annonça que selon le calendrier maya, nous étions en train de commencer la neuvième lune de l’aigle, l’animal qui symbolise la perception, la vue, le grand œil. Elles accrochèrent des papiers de couleur au mur, en remplacèrent certains et en affichèrent des nouveaux avec des dessins noirs. Je ne comprenais rien mais j’écoutais, je me laissais séduire par les vibrations de la méditation et je commençais déjà à me détendre, j’oubliais tout ce qui existait derrière les murs. Nous étions assises par terre, dans une pièce à la température tiède et envahie par l’odeur de l’encens, et pas un bruit. Soudain, on entendit des sons très bizarres, nous avions commencé la méditation dynamique.

Les yeux fermés, étendue sur le sol ou assise, je commençai à respirer avec le ventre, « pas avec le thorax », répète S. d’une voix qui semble sortir des profondeurs d’un temple. Concentrée sur ma respiration, je me détendais, jusqu’à ce que S. nous donne le signal de départ du premier exercice de respiration, qui consiste à respirer par le nez, bouche fermée, et avec force. Pendant presque dix minutes, les bruits qui sortaient de nos narines résonnèrent en rythme et parfois, on entendait quelqu’un pleurer. Et oui, la méditation réveille des énergies internes qui peuvent s’exprimer à travers d’autres modes d’expression, comme pleurer ou rire. Dans mon cas, il ne m’est rien arriver de spécial sauf qu’en sortant de chez S., je me sentais comme après le sport, mon corps entier était porté par une profonde légèreté.

Méditation Osho

Puis nous avons répété la respiration avec l’abdomen et pour finir, au lieu d’inspirer, nous avons toutes commencé à expirer. Ce ne sont plus des narines bouchées qui se faisaient entendre mais des bruits sauvages qui sortaient tout droit de nos gorges. Essaie d’expirer sans ouvrir la bouche, tu verras que c’est une bonne technique pour imiter les hommes des cavernes ! Et le silence occupa de nouveau la pièce chaude. Nous faisons quelques étirements avec la tête et les bras puis nous répétons trois fois en cœur « Ooooooooooh » et S. nous invite à nous réveiller à notre rythme.

Nous nous sommes réunies en cercle devant un tas de cartes faces cachées et chacune de nous en choisit une, « avec les yeux fermés si cela peut vous aider à rester avec votre énergie », ajoute S. Celle que j’ai piochée représentait le silence. Nous n’avons procédé à aucune interprétation mais je crois que désormais j’ai envie d’en savoir davantage sur sa symbolique. Nous avons jeté nos cartes dans un « feu » imaginaire et S. nous servît cette boisson chaude à base de cannelle, d’épices et de lait de soja, le Te Chai. « La méditation c’est un peu comme une consultation chez le psychologue. C’est une atmosphère très intime », explique S.

C’est bien vrai, pendant toute cette heure je me suis focalisée sur ce que je ressentais, je me suis concentrée sur les zones de mon corps où se réveillaient des douleurs et je suis sortie de la session avec une incroyable paix intérieure. Mes amies ont ressenti d’autres choses, car la méditation permet de te centrer sur toi-même, de méditer sur des aspects de ta vie et de ta personnalité et d’évacuer les mauvaises énergies qui envahissent ton quotidien. Je t’invite à tester cette expérience, comme la méditation est à la mode tu n’auras aucune difficulté à trouver un groupe ou un centre bouddhiste ou hindou par exemple. Je ne sais pas si j’y retournerai dimanche prochain…Mais j’ai des amies qui font de la méditation tous les jours !

Un autre remède pour fuir le rythme frénétique de la vie quotidienne est d’organiser un séjour dans un endroit charmant, magique et où règnent de bonnes énergies. La capitale française peut être un excellent choix et si tu loues Appartements à Paris, confortables et à prix avantageux, la relaxation sera exquise.