Dirigée par Jordi Gixe et Francesc Abad, le Mémorial Démocratique de Barcelone présente jusqu’au 13 février 2011 une exposition appelée « symboles de Franco ».

Cette exposition tente de rendre compte d’une large recherche sur les vestiges du franquisme qui se trouvent encore en Catalogne. Ce travail a été réalisé sous la direction du Mémorial Démocratique et du Mémorial Catalan. Il tente de ne pas perdre de vue tout ce que peut signifier 40 ans de dictature franquiste et les formes de pouvoir et d’idéologique.

Le Mémorial Démocratique a été créé avec pour but de potentialiser les valeurs de la démocratie et de potentialiser les propositions et les initiatives qui cherchent à asseoir et à maintenir la mémoire historique. Dans ce contexte, le mémorial réalise constamment des expositions, des projections de films de cinéma, des rencontres et des séminaires.

À cette occasion, et dans l’exposition qui ferme l’année en cours et débutera la nouvelle, le mémorial présente les résultats de la recherche qui ont été développée par rapport à la symbolique héritée du franquisme.

Des milliers de symboles, images, éparpillés sur le large territoire espagnol, et que l’on conserve encore de cette période, rendent compte de la dimension de la propagande du travail réalisé par la dictature franquiste. Bien qu’il se soit écoulés plus de 30 ans, ces symboles existent toujours entre nous, dans les espaces publics et quotidiens.

La symbolique franquiste, corrélation directe de la symbolique fasciste d’Europe à cette époque, est remplie d’aigles, de flèches, de défilés militaires, entre autres. Bien sûr les images en relation avec l’église catholique et celles de Franco lui-même, furent nécessaires pour relever l’image peu reluisante que le régime maintenait au niveau international.

Toute cette symbolique a prit ses racines durant la guerre civile et principalement avec l’exaltation du chef de l’État, le Généralisme comme l’appelle Franco.

Beaucoup de ces symboles ont été premièrement adoptés de celle créée auparavant pour les dénommées phalanges espagnoles des JONS. À cela s’ajoutèrent les images et les symboles des traditionalistes aussi appelés les carlistes où celles de l’armée.

Durant les années du régime franquiste, l’usage et l’expansion de cette symbolique comme doctrine prit des formes claires et qui nous marquent aujourd’hui.

Un exemple clair de l’acceptation de cette symbolique propagandiste et doctrinaire fut l’adoption de l’uniforme d’un parti unique. En créant la fusion des phalangistes et des traditionalistes, cet habit s’inspire de la chemise bleue des phalangistes, les ceintures militaires et le béret rouge des carlistes, et pour mettre la touche finale à cet ensemble particulier : une cravate noire. C’est uniforme a continué de s’utiliser pendant toute la dictature.

Pour conserver une présence constante dans tous les aspects de la vie publique et de la vie privée, l’identité du franquisme s’est servie des timbres, des insignes, des drapeaux, des étendards, des affiches et de tout type distinctif d’une marque déposée.

Jusqu’au mobilier public comme les bus certains éléments déplacent furent utilisés à l’effigie de la gloire de la patrie et, bien sûr, des valeurs militaires et religieuses.

Nancy Guzman

Une exposition à ne pas manquer qui reconstitue une période douloureuse et complexe d’histoire d’Espagne. Si vous passez quelques jours dans des appartements à Barcelone passez visiter ce jeu de mémoire de la société catalane.

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Traduit par: osito
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Le peintre d’origine catalane Mario Fortuny a toujours eu une intime relation avec l’Italie, et spécialement avec Venise. C’est la ville dans laquelle sa mère a déménagé en 1889 après avoir vécu des années à Paris et où Mariano continua ses études de peinture, en copiant certains de ses idoles artistiques vénitiens.

Et ce fut Venise où l’artiste multi-facettes a eu l’idée, avec son épouse Henriette, de fonder un atelier d’impression de tissus, et où furent créés certains des tissus les plus emblématiques, qui sont alors devenus célèbres pas seulement dans le monde de la mode, mais aussi dans le monde des Arts décoratifs de son époque.

Aujourd’hui l’héritage de Fortuny renoue ses liens avec Venise dans une fantastique exposition à la Fondazione Musei Civici di Venezia, qui s’inaugure 4 septembre restera ouverte jusqu’au 9 janvier 2011. Sous le titre de «Silk and Velvet » et avec pour but de commémorer cet artiste, certains de ces plus fameux dessins seront exposés, et parmi eux l’extraordinaire série de Delphos, ces délicats vêtements de soie plissée, qui restent aujourd’hui des référents dans le monde de la mode. D’une certaine façon on pourrait dire que certaines de ces incroyables pièces reviennent à leur lieu de naissance, puisque beaucoup d’entre elles furent imaginées dans l’atelier d’impression de tissus du Palazzo Pesaro Orfei.

Pour plus d’informations : https://www.museiciviciveneziani.it/frame.asp?pid=1871&musid=215&sezione=mostre



Heloise Battista

Si vous n’êtes pas déjà familier avec le travail de cet interessant personnage, je recommande louer d’appartements à Venise et visiter l’exposition à la Fondazione di Venezia Civici Musei. Surtout pour ceux qui s’intéressent aux arts de la mode et des arts décoratifs, cette exposition est sans doute l’un des plus intéressants en Europe cette saison.

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Traduit par: osito
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Du 18 novembre au 08 janvier 2011, nous pourrons voir “The Pipe and the Flow” dont le commissaire Omar Lopez-Chaoud essaie d’approfondir le concept de l’analogie. C’est à dire qu’il essaie d’étudier la ressemblance que l’on peut trouver entre des choses différentes. Il s’agit de raisonner pour trouver des similitudes dans différents organismes qui ont une position ou fonction semblables mais une origine différentes. Les artistes suivants y participent: Olivier Babin, Eduardo Basualdo, Jonathan Ehrenberg, Franklin Evans, Tommy Hartung, Jamie Isenstein, Marepe, Suzanne McClelland, Sam Moyer et LaToya Ruby Frazier.

Olivier Babin présente “Hail”, un sac en papier frotté avec du graphite qui lui donne une couleur noire-grisâtre et est accrochée au plafond avec un fil de pêche. Eduardo Basualdo nous surprend avec une sculpture et une collection de dessins, dans lesquels nous pouvons apprécier la distance entre deux êtres qui essaient d’occuper la même place. Jonathan Ehrenberg avec la vidéo “Seed”: un homme se transforme peu à peu en arbre. Franklin Evans avec “Floornotes”: travail vu au sol, le public peut marcher dessus. Il s’agit d’une peinture avec des images digitales. Tommy Hartung avec une vidéo qui s’appelle “Stay Golden Ponyboy” basée sur le film de Francis Ford Coppola “Outsiders”. Jamie Isenstein avec une installation basée sur un livre de 365 pages, sur une base, éclairé par une lampe de rayons UV qui fait que le livre change de couleur. Marepe nous apporte le montage “Genesis” en utilisant un filet de pêche des plastiques et des bouteilles.

Pour plus d’information: www.espaciominimo.net/

Galerie: Doctor Fourquet, 17. 28012 Madrid

Raquel García

Si tu ne veux pas rater cette exposition très intéressante qui t’aidera à comprendre un peu mieux le concept de l’analogie, loue un des appartements à Madrid et profite de cet évènement.

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Traduit par: françoise
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Saara Ekstrom est une artiste finlandaise polyfacétique qui travaille avec différents moyens et techniques, comme la vidéo, la photographie et les installations. Attirée par des compositions classiques, Ekstrom, réussit néanmoins à réinterpréter la nature morte grâce à son élan innovateur et son regard perspicace.

Sa source d’inspiration est la peinture de l’Europe du nord, qu’elle juxtapose avec des produits de XXIème siècle, comme des téléviseurs, lampes et autres gadgets de la post-modernité, créant ainsi une étrange, mais suggestive, tension entre le passé et le présent. Son travail dépend donc d’une certaine atemporalité classique, qui est, néanmoins, fermement ancrée dans notre culture visuelle contemporaine.

Néanmoins, ce geste n’est rien de plus qu’une technique, qui lui sert de base pour indaguer et réfléchir sur des thèmes humanistiques et, concrètement, féministes. Le matériel en soi, précise l’artiste, n’est pas le but même de ses expérimentations créatives, mais plutôt un moyen de communication, une métaphore, qui désigne les inquiétudes qu’elle veut exprimer à travers de son art.

Maintenant le Musée d’Art Contemporain KIASMA d’Helsinki propose une première rétrospective qui recueille le travail de Saara Ekstrom des dix dernières années de sa trajectoire artistique. Cette exposition dont l’inauguration sera le 14 janvier 2011 sous l’intitulé de “Limbus”, nous apporte l’opportunité de nous enfoncer dans l’imaginaire de la finlandaise, qui passe du plus poétique au plus grotesque,en errant par le passé, ainsi que par le présent.

Pour tous ceux qui ont un intérêt artistique, cette exposition du KIASMA promet de commencer l’année avec force, en plus de nous présenter une des artistes les plus intéressantes de Finlande, dont les propositions passionnantes sont à la hauteur du meilleur du panorama artistique contemporain.

Heloise Battista

L’inauguration qui se célèbrera le 14 janvier est une magnifique occasion pour louer un appartements à Helsinki et visiter cette ville magnifique.

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Traduit par: françoise
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Il y a quelques mois, le 25 juin, c’est inauguré une fascinante exposition au MUMOK, le musée d’Art moderne, à Vienne, qui sous le titre «The Moderns – Revolutions in Art and Science 1890 – 1935 ” explora le monde des Art moderne au début du XXe siècle, inspiré influençait par les plus révolutionnaires connaissances scientifiques.

Certaines des découvertes les plus importantes du début du XXe siècle furent sans doute la théorie de la relativité d’Albert Einstein et la physique quantique découverte au célébrissime et prestigieux institut Max Planck. Ces fantastiques et révolutionnaire découvertes influencèrent de manière importante les avant-gardes de l’art moderne.

Et les aspects artistiques où, clairement et indiscutablement, se reflètent les influences scientifiques est dans le cubisme et le futurisme, qui forment la partie centrale de cette fantastique exposition. Ses représentants les plus connus sont comprises dans l’exposition avec leurs plus intéressantes propositions. Parmi eux : Giacomo Balla, Marcel Duchamp, Laszlo Moholy-Nagy, Man Ray y Francis Picabia.

Sous la responsabilité de Cathrin Pichler, Martin Guttman y Susanne Neuburger, cette exceptionnelle exposition présente les plus novatrices des œuvres et les juxtaposent avec des appareils scientifiques de l’époque, comme par exemple la photographie aux rayons X ou les modèles cinématiques, ce qui met en évidence l’influence de ces inventions dans les paradigmes esthétique de ces avant-gardes. Cette exposition, en plus de nous montrer certaines des œuvres les plus importantes du XXe siècle, démontre de manière formidable comment les distinctes disciplines que sont l’art et la science, peuvent s’inspirer mutuellement et se compléter, et surtout, mettre en relief qu’aucune n’est plus valide que l’autre.

L’exposition sera ouverte jusqu’aux 23 janvier 2011, il aurait donc assez de temps pour jeter un œil sur cette exposition inspiratrice du développement artistique et scientifique, qui jusqu’à aujourd’hui, 100 ans après, reste une grande découverte.

Heloise Battista

Louez des appartements à Vienne et ne ratez pas la fascination de l’art pour la science.

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Traduit par: osito
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Le 22 octobre s’inaugure au MUMOK à Vienne et l’exposition « hyper réelle. Passion pour la réalité dans la pâte la photographie » («Hyper Real. Die Passion des Realen in Malerei und Fotografie »), qui sera offert jusqu’au 13 février 2011.

Cette exposition au MUMOK expose la recherche pour le réel dans la peinture de la photographie contemporaine, en commençant par les propositions des années 60 jusqu’à aujourd’hui. Plus de 250 travaux illustrent les positions les plus importantes du photo réalisme, comme l’aspect le plus proéminent de cette recherche passionnée pour la réalité.

À la fin des 60 un groupes d’artistes d’avant-garde capta la tension avec d’impressionnantes peintures, de parfaits simulacres qui émulaient à la perfection la réalité de la photographie. Inspiré du pop Art, cette obsession pour la consommation de masse et la publicité, ce qui intéresse le plus les photoréalistes dans les années 60 et 70 était la vie quotidienne dans la métropole américaine.

Pour finir, certains des artistes les plus importants du pop Art sont présentés dans cette exposition, comme par exemple Roy Lichtenstein et Andy Warhol. Elle compte aussi bien sûr avec les icônes du photoréalisme, comme les Américains Ralph Goings, Robert Bechtle y Richard McLean. Néanmoins, il ne pouvait manquer les positions européennes de l’hyperréalisme, représenté par l’allemand Gerhard Richter  et par l’Italien Domenico Gnoli, entre beaucoup d’autres. Richter, par exemple, s’est converti en l’un des artistes les mieux cotés du monde et dépassa les records en vente aux enchères, se convertissant en l’un des premiers artistes vivants gagant millions et millions.

Plus d’informations sur : https://www.mumok.at

Heloise Battista

Nous t’invitons à visiter cette exposition qui présentera ces hits de l’art moderne, tous réunis dans la salle d’exposition. Pour cela une nettement plus que de louer des appartements à Vienne et de découvrir cet incroyable monde réaliste.

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Traduit par: antoine
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Kari Cavén né en Finlande en 1954 est sans doute l’un des artistes finlandais les plus connus actuellement. Un sculpteur inhabituel, Kari Cavén a trouvé un potentiel plastique dans les matériaux d’usage quotidien, ou concrètement, ce qui reste de notre consommation anxieuse : la poubelle.

De nature conceptuelle, néanmoins, au travers de son œuvre, l’artiste explore le côté le plus humain et personnel de l’art, qui se reflète dans son usage des matériaux, des objets que la plupart d’entre nous on eu en main parfois. Grâce aux interventions de Kari Cavén, ces objets acquièrent une dimension nouvelle, en se convertissant en des références d’usage culturel et artistique.

De cette manière, l’artiste consomme ce qui avait déjà été consommé et jeté par la société. Mais Kari Cavén ne le fait pas d’une manière rhétorique, en exposant sa sensibilité pour le tissu symbolique qu’il rencontre au-delà de la superficie. Une technique subversive à laquelle recourent beaucoup d’artistes contemporains pour commenter une  réflexion sur notre société de consommation. Cela met en évidence une tendance qui, jusqu’à l’artiste, représentant de ce champ autonome apparemment libre des fluctuations économiques et l’art, ne lui donne pas d’autre alternative que l’expression de la consommation elle-même.

Le 29 octobre, le Kiasma musée d’art contemporain d’Helsinki célèbre l’inauguration de l’exposition «Eyes crossed » qui montre les dernières incursions de l’artiste Kari Cavén. La thématique centrale est, une autre fois, cette perspective unique et personnelle du monde et d’être, qui a motivé cet artiste depuis les débuts de sa trajectoire.

Pour plus d’informations : https://www.kiasma.fi/index.php?id=836&L=1

Heloise Battista

Pour tous ceux qui veulent vivre inhabituelle hier finlandais avec son charme mélancolique et ceux qui veulent se rafraîchir les idées sur l’art contemporain scandinave, nous vous recommandons de louer des appartements à Helsinki et de visiter «Eyes crossed » jusqu’au 6 février 2011.

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Traduit par: antoine
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David McDermott et Peter McGough n’ont pas grand chose à faire des Smartphone et les must du reste du monde pour rester au courant de tout. Pour citer McDermott : « j’ai vu le futur et je n’y vais pas. » C’est probablement le meilleur résumé de leur attitude dandy pour échapper à l’ennui leur vie et de laisser les choses telles qu’elles sont. Mais à ne pas confondre, ils ne prétendent pas que tout était mieux avant, mais que ça en a seulement l’air.

Ce duo s’est rencontré à New York dans les années 80 et revint lorsque East Village était un dangereux voisinage. L’esprit du siècle dernier a aussi apporté à leur esthétique : idylle rurale au lieu de béton, film muet au lieu de haute définition, une caméra photo de 1910 obus d’une caméra digitale.

Au début des années 90 ils déménagèrent dans une maison dans les alentours de Dublin, et quand vous déplacer le seuil vous avez impression d’être siècles derniers, il n’y a pas de chauffage central, pas d’ordinateur et le téléphone date des années 20.

Le 20 octobre à la kunsthalle de Vienne s’inaugure l’exposition d du travail de McDermott et McGough’s qui portent essentiellement sur des portraits pittoresques de la maison à Dublin. L’exposition tire son nom de l’adresse 26 Sandymount Avenue. Les images de la maison de Dublin qui seront présentées ont été produites selon un processus de peinture historique (cyanotype) qui donne aux images un ton bleu de rêve mélancolique. En plus des images il y aura une série de petits films, dont le protagoniste de l’un de est le modèle Agyness Dyen.

A porpos, pour voyager entre les États-Unis et l’Irlande, ils ont préféré prendre le Queen Elisabeth au lieu de l’avion et pour l’inauguration ils viennent en train. Mais qu’importe le moyen de transport que vous choisirez pour vous rendre à Vienne, la meilleure option pour votre séjour est de louer des appartements à Vienne. Vous avez jusqu’au 5 décembre pour voir l’exposition.

Pour plus d’informations : https://www.kunsthallewien.at/en/

Au Musée Reina Sofia fut présentée l’exposition “Débordement de Val del Omar”, qui présente les travaux culte que léga l’artiste de Grenade et qui essayera de les faire connaitre au grand publique, c’est au moins ce qu’expliqua le directeur de centre national, Manuel Borja-villel.

L’exposition durera jusqu’au 28 février 2011 et se présentera en sept zones chronologiques qui montrerons son œuvre depuis l’année 1930 jusqu’à l’année de sa mort 1982. Pourquoi se réalise cette exposition pour faire connaitre Val del Omar ? Parce que, selon Borja-villel, cet artiste est l’un des  ”grands inconnus de la culture espagnol “. En fait c’est la première fois qu’un grand musée comme le Reina Sofia s’intéresse au travail de cet artiste culte pratiquement oublié.

L’artiste réussit à casser la tradition du cinéma espagnol et c’est pour cela qu’il fut incompris par beaucoup, mais justement le but de “Débordement de Val del Omar” sera d’essayer d’expliquer et d’approfondir son œuvre. Il est connu pour son passage par le cinéma expérimental, en réalité son intérêt allait bien plus loin, et beaucoup de ses œuvres sont liés à la technologie à travers de laquelle il réussit à créer des présentations polysensorielle.

Grâce à cette passion pour la technologie il réussit à créer différentes inventions et formes d’enregistrement, de lecture, micro-projecteurs et différents formats qui plus tard furent utilisé par ses collègues.

Si tu veux assister à “Débordement de Val del Omar” et connaitre un des artistes du cinéma espagnol les plus importants et en même temps inconnu, tu peux louer un des appartements à Madrid et profiter d’une exposition qui te présentera toute sa carrière.

Plus d’information: https://www.museoreinasofia.es

Musée Reina Sofía: C/ Santa Isabel, 52, 28012, Madrid, Espagne

Agnolo di Cosimo Tori, connu sous le nom de Bronzino (1503-1572), es l’un des artistes conceptuels les plus anciens de l’histoire. Bien que l’art conceptuel comme tel ne fut connu que dans la deuxième moitié du XXème siècle, les figures de Bronzino reflètent déjà cette rigidité glacée que nous associons aux œuvres de l’avant-garde moderne. Dans les visages plats et immobiles des ses portraits, il n’existe ni âme ni identité.

Dans son regard nous percevons un mystère vide qui compose cette beauté et qui nous attire tant. Dans sa posture, nous lisons la même rigueur statuaire et impénétrable. Avec l’ingéniosité typique d’un peinte renaissant, le but de Bronzino n’est pas la représentation exacte de la réalité Au contraire, dans son œuvre, ce qui est vivant se fossilise, faisant des ses personnage de tristes fantômes.

Maintenant le palais Strozzi à florence accueille ce génie de la renaissance et expose ses œuvres sous le titre de « Bronzino. Artiste et poète de la cours des Médicis » jusqu’au 23 janvier 2011 et regroupe les chefs-d’œuvre qui seront complétés par les travaux de Pontormo et Alessandro Allori, qui furent produit dans le célèbre atelier de Bronzino, avec l’idée de permettre aux spectateurs d’aller vers l’intérieur de l’œuvre du peintre, par thèmes et chronologiquement.

Dans l’une des salles dédiée au patronage des Médicis de Florence, nous rencontrons de fabuleux portraits des enfants Médicis, qui mettent en évidence le talent pittoresque de Bronzino. Vous pourrez aussi admirer des œuvres de thème religieux, qui ornent les églises de Florence depuis sa mort. Si ce n’est pas au Palais Strozzi, tu pourras le rencontrer dans toute la ville.

Pour tous les amants des arts, cette exposition est une visite obligée. Le mieux que tu puisses faire est de louer des appartements à Florence.

Plus d’information sur : https://www.palazzostrozzi.org