Tous les chanceux qui ont eu le bonheur de lire Istanbul. Villes et souvenirs, de l’auteur turc et prix Nobel de littérature Orhan Pamuk pourront sans doute attester de son extraordinaire habilité à créé une ville physique au travers du souvenir. Mais aussi son habileté pour faire penser le lecteur sur la relation toujours complexe entre la littérature et le monde que nous appelons réelle, ainsi qu’avec les différentes manières dont la première de forme au second et qui, jusqu’à un certain point, empêche de percevoir la réalité autrement qu’au travers le filtre des mots.

Si dans Istanbul il mentionne les caractéristiques de la ville qui consiste à ne pas garder ses monuments en vue avec les expositions publiques mais à préférer les intégrer au contexte urbain comme partie de l’habitat naturel au milieu duquel s’épanouit la vie, le roman le musée de l’innocence réfléchit sur les similitudes que le roman et le musée partage comme espace où l’on conserve les détails de nos vies qui sont condamnées à disparaître dans le temps. C’est pour se rappeler du passé que, selon Pamuk, l’on collectionne les objets.

Sur plus d’un aspect, bien qu’il s’agisse d’une œuvre d’amour extrême qui joue avec les conventions mêmes du mélodrame, des comédies musicales et des films romantiques qui caractérisent le cinéma turc des années 70 et 80 – conventions qui sont à leur tour décrites dans le livre même avec un fascinant jeu de miroirs – c’est un roman plus personnel et intime, ou l’auteur a vécu ou non les mêmes périphéries sentimentales que le narrateur de l’histoire.

Celui-ci, membre de la famille la plus riche de la bourgeoisie d’Istanbul, souffre d’un amour éperdu pour une cousine plus jeune que lui et d’une classe sociale inférieure qui transforme sa vie en somnambule qui déambule d’année en année par les rues, par des cafés et restaurants, par les bars et les cinémas, par les magasins et les maisons de la ville à la recherche des objets qu’elle a touchés ou qui lui aurait appartenu, créant ainsi un musée qui est à la fois une carte des rituels et des habitudes de la société d’Istanbul, et du cœur cassé d’un homme. Ou une tapisserie emmêlée qui est en même temps l’exploration de la nature des liens que crée l’amour et des mystérieuses raisons qui nous poussent à collectionner.

Le livre, dont l’un des personnages est Pamuk lui-même, peut se lire comme un véritable guide musée, que l’écrivain crée dans le quartier de Çukurcuma avec des objets qui évoque la vie quotidienne de la ville durant les années où se déroule l’histoire.



Paul Oilzum

L’ouverture des portes du musée est attendue pour 2011. Si vous louez des appartements à Istanbul peut-être n’y a-t-il pas meilleur guide que le livre qu’il a fait naître. Ce n’est pas en vain que Pamuk lui-même a affirmé à certaines occasions que si ils pensent la ville au travers d’Istanbul, au travers du musée il la montre.

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Traduit par: osito
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Pour illustrer l’une des formes possibles de se dépêcher lentement on se rappelle Henrique Vila-matas et son livre le voyageur le plus lent un conte chinois recueilli par Italo Calvino – quoi de mieux qu’un Italien au pas des histoires qui nous vient d’Orient – au sujet de l’adroit artiste Chuang Tzu, chargé par l’empereur de dessiner un grave.

Tchuang Tzu demanda cinq ans et une maison avec 12 serviteurs comme condition nécessaire pour réaliser cette tâche. Nécessaire mais apparemment non suffisante, puisqu’une fois les cinq ans passés il n’avait toujours pas accompli sa tâche. Chuang Tzu demanda alors 1124 jours de plus qui lui furent accordés. Le dernier jour arriva, et en un seul geste, il dessina le plus parfait des crabes.

Dans un poème en prose de José Ángel Valente, le peintre et le monarque sont d’une seule personne, Hui-Tsung, un empereur chinois qui peignait « avec l’habileté d’un expert dans la contemplation de la nature » une caille et un narcisse dans un coin car « nid d’oiseau ni la fleur peuvent être au centre, mais peuvent seulement indiquer le centre ou guider l’œil qui les regarde pour déterminer la forme non visible dans laquelle l’oiseau et la fleur sont inscrits. »

En ce qui concerne Istanbul, nous savons de Kemal Bey, le personnage de Orhan Pamuk, que durant une bonne partie des années 50 et 60 du siècle passé il n’y avait dans la ville ni un seul musée dans lequel on pouvait voir des tableaux. Les amoureux de la peinture avaient pour habitude de se contenter d’agrandir des photographies d’oiseau en noir et blanc et de peindre au-dessus ou de les utiliser comme modèle. Les photographies pouvaient aussi représenter d’autres choses, mais les oiseaux d’Istanbul se convertirent alors en un motif favori. Les artistes s’est dédiée lentement et patiemment, avec une attention scrupuleuse au détail qui les rapprochait intimement de peintre oriental d’oiseau et de crabes, en le rendant peut-être certains secrets ou vertigineuses manières des anciens temps où les Turcs avaient vécu avec les Chinois en Asie centrale.

Car étant toujours change, cela paraît l’unique essence, et nous en avons la preuve à Istanbul au musée Museo Dogançay, (Balo Sokak No: 42) qui détient l’honneur depuis 2004 d’être le premier musée d’art moderne ouvert dans cette ville. Situé dans un édifice de cinq étages et datés d’un siècle et demi dans le quartier de Beyoğlu, le musée est dédié pratiquement entièrement à l’œuvre de Burhan Dogançay, l’un des principaux artistes turcs contemporains. Son travail for intéressant tout autour de la fascinante impression qu’en lui ont laissée, comme témoignage du temps passé, les murs de la ville de la centaine de pays qu’il a visités, impression qu’il recrée dans ses peintures, oeuvres graphiques variées, sculpture ou photographie.



Paul Oilzum

Quand vouvray des appartements à Istanbul et que vous visiterez le dynamique et moderne Beyoğlu, connu pour sa du nocturne, ses galeries d’art et ses splendides édifices néoclassiques et arts nouveaux, prenez un peu de temps pour visiter le musée Dogançay.

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Traduit par: osito
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Je dois avouer que jamais je n’avais entendu parler ni lu ni même vécu l’effet squirting, et je peux juste me demander pourquoi. Certains disent que le squirting est l’éjaculation féminine, mais… pas n’importe qu’elle éjaculation. Il s’agit d’éjaculer du liquide de la même façon que les hommes. Pourtant normalement les femmes n’éjacule pas d’une façon si abondante et surtout si « expansive », mais habituellement leurs façon de perdre des liquides est plus discrète.

Mais le fait est que beaucoup de personnes pensent que le squirting n’est pas une éjaculation, sinon plutôt une perte incontrôlable d’urine pendant l’orgasme. La seule chose qui est claire, 100% prouvé, s’est que le liquide qui sort du vagin de la femme n’est pas de l’urine ni non plus une sécrétion habituel produit lors de l’excitation de la femme. Donc qu’est ce que le squirting ?

Le secret n’est pas dans le quoi, mais dans le comment. Beaucoup de femme, lorsqu’elles sont excitées, activent des glandes urétrales qui sécrètent ce type de fluide. Le fait est que ce liquide s’expulse pendant l’orgasme d’une manière ou d’une autre selon les femmes. De plus il faut savoir que ce liquide ne procure pas plus de plaisir pendant l’orgasme, bien qu’il puisse provoquer plus n’excitation grâce à la quantité de liquide expulsé par le corps.

De toute façon, si vous voulez l’essayer, louez un des merveilleux appartements à Istanbul et laissez que la passion, le paysage, la culture et la magie de la ville vous entourent pour mener aux limites votre propre corps et celui de votre compagne. Il s’agit de l’une des plus grandes villes d’Europe, anciennement appelé Byzance ou encore Constantinople… Dans ses rues se forgea l’histoire et vous pouvez la découvrir.

Vous êtes vous sentie observé lorsque vous marcher main dans la main de votre partenaire ? Si vous n’êtes pas homosexuel cela ne vous est probablement pas arrivé très souvent, à moins que votre partenaire soit la personne la plus belle du monde ou Gisele Bündchen. Mais si vous êtes homosexuel plus d’une fois vous aurez remarqué comment les gens murmurent à votre passage et vous regarde fixement. Votre seule crime est de vous prendre la main, de vous donner un baiser de bienvenue ou simplement un bisou.

Si  vous vivez dans une des villes où ce type de relation n’est pas condamnable vous avez de la chance. Mais que se passe-t-il quand vous êtes dans un pays où l’on condamne l’homosexualité par la peine de mort ? J’imagine que dans ce cas, il y a très peut de courageux promenant main dans la main avec leurs partenaires du même sexe. C’est dommage mais c’est la réalité.

Par exemple, tous les pays islamiques, à l’exception de la Turquie, poursuivent les homosexuels. Il est difficile dans cette situation de lutter pour un droit comme celui d’avoir une relation sentimental avec une personne du même sexe. Pour cela, beaucoup d’association tutte pour obtenir une égalité de droit qui devrait être irréfutable. Le cas de la Turquie est paradoxal. Dans le cadre de son approchement à l’union Européen, la Turquie a du éliminé les lois qui punissent l’homosexualité mais néanmoins elle est toujours mal vu.

Malgré cela, visiter cette ville est très agréable, et surtout, il est intéressant de voir le travail de la communauté gay pour être plus visible, bien que pour le moment que dans certain quartiers. Vérifié le vous-même en louant un des appartements à Istanbul, ainsi vous pourrez nous raconter si les efforts réalisés valent la peine.

Pour beaucoup de personnes les bijoux restent un simple ornement, un complément qui s’accorde avec les vêtements ou que l’on utilise pour des occasions spéciales. On aperçoit une bague ou une boucle d’oreille dans une joaillerie, il nous plait, nous l’achetons puisqu’il va si bien avec notre tenue, mais Pensons-nous ne serait-ce qu’une fois le sens de cette bague ou comment fait-elle partie de notre identité ?

Dans les cultures ancestrales, spécialement en Egypte Antique, les bijoux en plus de symboliser le statu de la personne, tenaient différentes significations en accord avec la religion ou l’usage qu’on leur donnait. Les bijoux étaient utilisés dans certains rituels et canalisaient les énergies et servaient d’amulettes, et d’autre part le matériau avec lequel chacun était fait etait en relacions avec différents dieux. Certains bijoux indiquaient le métier ou le rang militaire, en plus d’être une partie fondamentale de l’image et de la beauté de la personne. Dans presque toutes les cultures anciennes, les bijoux symbolisaient le statu social de la personne, en plus de leurs rôles religieux ou magiques, mais c’est seulement maintenant que l’usage des bijoux, au moins dans les sociétés occidentales, démontre notre goût individuel, fait partie de notre identité personnelle.

Aujourd’hui nous trouvons différents types de bijoux et usages de ceux-ci, et en plus de symboliser le statu, ce qui est encore le cas de bijoux très exclusifs et des pierres précieuses, ils parlent pour nous, définissent plus clairement nos goûts et notre style de vie. Ainsi se situent des pratiques comme le piercing, les bijoux utilisés par les cultures urbaines comme le gotique ou le métal, les bijoux modernes faits de matériaux recyclés comme des composants électronique usés, etc. La liste des usages et types de bijoux est longue et les matériaux, prix et formes qui existent sont aussi nombreux.

Pour trouver ce bijou spécial que tu désir depuis longtemps, loue une des appartements à Istanbul et laisse-toi enchanter par cette exotique ville.

Nous connaissons tous le dicton “Il n’y a pas de fumée sans feu”, mais attention, même si la sagesse populaire a beaucoup de fois raison, les rumeurs ont une double face et une d’elles met en évidence notre curieuse façon de nous mettre  en rapport socialement et de connaître les autres. Pour cette même raison, s’il y a de la fumée… méfies toi, il peut y avoir un feu, ou pas.

Ce n’est nouveau pour personne que nous vivons dans un monde où les histoires et les rumeurs sur les autres, spécialement si elles portent préjudice aux personnes concernées, se répandent avec énormément de facilité, ne parlons pas de si ces personnes sont des célébrités que nous voyons à la télévision ou internet.

Mais en fait il n’y a pas besoin d’être célèbre, plus d’une fois nous avons été nous-mêmes concernés par une rumeur qui circulait dans un de nos circuits sociaux et qui n’a pas grand chose à voir avec la réalité. Une des explications sociologiques de la rumeur, est que nous socialisons et connaissons les personnes avec lesquelles nous avons des relations à travers de constructions sociales des autres qui sont énormément vagues et beaucoup de fois arbitraires.

En ayant vu une personne seulement une fois nous nous faisons toute une idée de sa vie et de sa personnalité, par exemple si on nous présente un homme de bon aspect, élégamment vêtu d’un costume et ayant de bonnes manières, il nous sera plus difficile de croire une rumeur qui ne coïncide pas avec l’image sociale qu’il nous montre. Cela semble simple, il semble qu’à priori la rumeur fonctionne de manière cohérente avec un ordre mental, un imaginaire social qui est partagé, mais, que se passe-t-il alors avec ces milliers de rumeurs qui semblent ne pas avoir de fondement, ou avec celles dont on nous fait part et que nous partageons chez le coiffeur, avec nos voisins à l’épicerie du quartier ou dans les couloirs du travail?

La rumeur n’est pas toujours sur des personnes, elle peut être sur des évènements, des nouvelles, etc. Beaucoup de fois nous nous rendons compte que des personnes qui nous semblent avoir un bon critère partagent des rumeurs qui nous semblent absurdes, plus que fausses, absolument ingénues. Quelle est la fonction sociale de ces rumeurs? Premièrement, la majorité de ces rumeurs circulent et ont de la crédibilité pour beaucoup parce qu’elles se basent sur des convictions, sentiments (positifs ou négatifs), espoirs et, très important, intérêts des personnes qui les partagent.

Pensez seulement à la relation avec les sentiments, quand les rumeurs provoquent de la répulsion ou de l’indignation socialement partagée, elles sont plus faciles à diffuser. Deuxièmement, par rapport à la fonction qu’elles remplissent, il est très facile de les mettre en relation avec des inconnus à travers d’eux-mêmes, parce que si ce sont des rumeurs actuelles et de grande diffusion ce sera une conversation sûre dans la consultation du médecin ou dans les couloirs de l’immeuble. En plus, si le reste le croit, c’est que ça doit être vrai! C’est à dire que nous déposions notre confiance dans le nombre.

Ne te laisses pas mener par de fausses rumeurs,  Istanbul est sans aucun doute  la ville idéale pour ces vacances de rêve, loue un des appartements à Istanbul et déconnecte des mauvaises langues.

Il se trouve qu’une grande partie de notre sagesse populaire n’est pas aussi clairvoyante que ça. Il se peut que les rumeurs des commères dirigent ta vie, cela dit, elles ne sont pas écrites dans le marbre. Par chance, nous n’avons rien de mieux à faire que de te présenter la réalité des choses et on adore les types de Mythbusters. Alors voici quelques idées reçues pour lesquelles tu ne devrais plus te préoccuper.

Rumeur : tu dois boire deux litres d’eau par jour

Réalité : notre diète quotidienne contient énormément d’eau. Dans les fruits –surtout les oranges et la pastèque-, les légumes, le thé, les infusions, le café, les jus et rafraîchissants, surtout ceux qui sont faibles en sucre. Si tu aimes l’eau, profites-en, ça ne te fera pas de mal, mais inutile de se rendre taré en voulant consommer deux litres par jour. Pour savoir si ta consommation est suffisante, observe la couleur de ton urine. Si elle est plutôt foncée, c’est que tu as besoin de boire davantage. Si elle est plutôt jaune pale, c’est que tout va bien.

Rumeur : la majorité de la chaleur corporelle s’évacue par la tête
Réalité : ton corps entier émet de la chaleur. A moins que tu ne te ballades à poil –ce qui ne nous regarde pas-, la chaleur s’évacue avant tout para la tête, car c’est la zone du corps la plus exposée au froid. Les cheveux font office de protection et porter un bonnet est encore mieux, mais si tu le mets et que tu oublies de couvrir le reste de ton corps, tu t’exposes à une hypothermie.

Rumeur : on utilise seulement 10% de notre cerveau
Réalité : certaines personnes semblent utiliser seulement 10% de leur cervelle, mais en réalité on l’utilise tous, mais que 10% à la fois. Telle est la raison de cette rumeur, on exploite toute notre cervelle mais seulement un dixième à chaque moment, cela dépend de la tâche accomplie.

Rumeur : on peut devenir aveugle en lisant avec peu d’éclairage
Réalité : lire avec une lumière tamisée renforce les muscles des yeux. Si tu as lu pendant longtemps, il est conseillé de les étirer, de faire de la gymnastique faciale et de fixer un point au loin et sur les côtés jusqu’à ce que tu sentes que les muscles de tes yeux s’étirent, mais ne t’inquiètes pas, tu ne perdras pas la vue tout ça parce que tu lis avec peu de lumière.

Rumeur : avoir froid enrhume
Réalité : les coups de froid sont dus aux virus, pas à la température. En hiver, il se peut que tu passes plus de temps enfermé et donc que tu sois plus sensible aux changements climatiques.

Rumeur : la salive d’un chien tue l’herpès labial
Réalité : ce mythe qui dit que la gueule d’un chien est plus propre que celle d’une personne est complètement faux. Alors que certaines familles laissent leur chien lécher la bouche de leurs enfants, en jurant que cela « nettoie » les infections, il est fort probable que ce soit simplement le fait de laver qui éloigne les symptômes, et non pas que la langue du chien contient une substance magique. Sa gueule contient sûrement autant de bactéries que la tienne, alors que toi tu ne te lèches même pas le cul.

Louez Appartements à Istanbul pour un week-end, ce sera une excellente idée pour te détendre et récupérer tes énergies, et c’est loin d’être une rumeur !

Les journées se font de plus en plus longues et on attend désespérément l’arrivée de l’été. Soleil, températures élevées, tops, mini jupes et tout ce qui va avec. Mais il y a tout de même un inconvénient dans tout ça : les températures élevées et des vêtements légers nous font plus transpirer. C’est un phénomène naturel qui régule le métabolisme du corps, il n’y a rien d’anormal à ça, mais je crois qu’on est d’accord sur ce point : les conséquences sont loin d’être agréables pour tout le monde.

Imagine que tu sois assis à côté d’un type en chemise à manches courtes un jour de canicule. Il est pendu à la rampe du métro et tu renifles l’odeur si enivrante de ses aisselles. Tu es sur le point de t’évanouir. Il pue c’est une horreur…quel cauchemar !

Il existe toute une liste des mauvaises odeurs et avec toutes mes excuses, il se trouve que nous sommes responsables de la majorité d’entres elles. Jetons un coup d’œil à cette liste d’odeurs qui ont mauvaise réputation…

En dernière place : la puanteur des eaux usagées. Mais mis à part si tu vis à côté d’une station d’épuration ou que tu ais la baignoire bouchée en permanence, il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Numéro 9 : les fameuses aisselles  qui rejoignent le numéro 5 avec les odeurs d’autres parties du corps. 8 : il s’agit également d’une odeur plus présente en été, commune aux festivals et autres événements en plein air, c’est-à-dire les toilettes. J’adore assister à des festivals mais je préfère m’abstenir d’aller au petit coin. Dans le même genre, odeur mortelle numéro 7 : les toilettes publics et plus particulièrement ceux qui se situent dans les aires de repos, tout pisseux et qui empestent l’urine. Numéro 6 : la mauvaise haleine, que tout le monde doit avoir au petit matin. Et à d’autres moments de la journée, qu’en est-il ? Il existe le fil dentaire et pour info : ça ne sert pas à confectionner des rideaux de pacotille.

Les quatre premiers gagnants sont : le putois, le tabac, les excréments et les cadavres.

Pour éviter les mauvaises odeurs –du moins celles que nous provoquons- le mieux à faire est de maintenir une bonne hygiène corporelle. Je sais que l’atmosphère estivale est parfois pesante mais n’oublions pas le meilleur dans tout ça : les vacances !

Prépare-toi pour une escapade à Istanbul. Pour un séjour réussi, loue Appartements à Istanbul, où tu pourras profiter en toute intimité comme si tu étais chez toi et ainsi t’épargner les mauvaises odeurs des autres.

Si les mots révèlent 10% de ce que l’on dit, qu’en sont-ils des 90% qui restent ? Le ton de la voix joue un rôle essentiel, aussi important que notre langage corporel. Si nous ne sommes pas des menteurs pathologiques, tout ce que nous sentons transparaît à travers des signes corporels. La manière dont nous mettons nos pieds, nos gestes, nos regards, tout à une signification. La personne avec qui tu dialogues ne s’en rend peut être pas compte mais si tu sais lire ces signes, tu pourras la comprendre davantage.

Le mensonge

Le corps est avant tout honnête mais le mensonge le stresse. Les battements du cœur s’accélèrent et le corps se gorge d’adrénaline, parce qu’il veut retenir le mensonge avant qu’il ne sorte. D’ailleurs, les enfants mettent souvent la main devant la bouche quand ils mentent. Ne pas regarder dans les yeux, se mettre à fumer, se gratter les lèvres ou le nez, regarder par terre, sont quelques-uns des signes qui peuvent révéler un potentiel mensonge.

Mais attention à ne pas les confondre avec les expressions du stress. Si tu accuses quelqu’un d’avoir fait quelque chose, il se peut que tous les signes du mensonge te sautent aux yeux alors qu’il est simplement stressé. Une situation similaire : pendant les entretiens d’embauche, les gens ont souvent l’air de mentir. Mais ce n’est pas forcément qu’ils ne disent pas la vérité, ils sont bien souvent embarrassés et le stress de l’entretien les rend moins sûrs d’eux.

Amour

C’est pas tout à fait ça. Parlons plutôt d’attirance sexuelle.

Chez les hommes: leur langage corporel varie selon leur attirance sexuelle et encore plus avec une femme en particulier. Les hommes sont assez transparents à ce niveau là : ils parlent de sexe, s’approchent énormément, tentent un baiser ou un toucher qui n’est pas forcément placé au moment le plus opportun. Ils font tout sauf enlever leurs vêtements au beau milieu de la rue, quoique cela arrive parfois. Le langage corporel de l’amour est plus difficile à cerner. On inculque souvent aux hommes à cacher leurs émotions, ce qui peut être un frein pour savoir s’ils aiment une femme en particulier ou pas. Un signe évident est la dilatation des pupilles lorsqu’ils voient quelqu’un qui leur plait et le contact visuel est souvent plus fort. Cela dit, s’ils bloquent sur la bouche d’une femme cela veut plutôt dire que leurs pensées sont davantage sexuelles qu’amoureuses. Un bon test consiste à enlever sa montre ou un bracelet et le laisser sur la table. Si l’homme touche l’objet, c’est qu’il est intéressé.

Et les femmes? Si tu penses qu’un sourire est suffisant, tu te trompes. Les femmes sourient quand elles sont à la défensive et veulent que l’autre s’en aille. Il s’agit des dents : un sourire forcé sans montrer les dents est mauvais signe. Quand elle est en mode « drague », sa posture et son langage corporel sont détendus et ouverts. Elle ne croise pas les bras, ouvre le torse et lève le menton pour montrer son cou. Elle touche ses cheveux et il se peut qu’elle touche même l’homme qui l’intéresse. Si elle montre la partie la plus blanche de son avant-bras, c’est qu’elle est intéressée.

Pouvoir

Dans le business, le langage corporel est essentiel dans les prises de décision. Il y a le dos bien droit, le menton en l’air et un sourire fermé mais confiant. Si quelqu’un te donne la main avec la paume vers le bas, fais attention car cela est un geste d’arrogance. La disposition des chaises joue aussi son rôle. Pas seulement où tu es assis mais plutôt à quelle hauteur, étant donné qu’un siège bas indique un statut moins important. Cependant, rester assis pendant qu’un autre est debout est signe de pouvoir. Un ton de vois bas et contrôlé est important, parce que parler vite et fort révèle du stress. Les femmes se sentent souvent moins puissantes dans le domaine professionnel car elles clignent beaucoup plus des yeux, trois fois plus que les hommes, et les battements de paupières indiquent anxiété et un manque de défense. Alors ne cligne pas des yeux et tu pourras peut être convenir des meilleures décisions. Pas besoin d’un langage corporel très développé pour louer Appartements à Istanbul, avec quelques clicks de souris et un appel téléphonique, le tour est joué !

Récemment, Istanbul a été nommée Capitale Européenne de la Culture 2010, et parmi la panoplie d’événements organisés figure le Festival International de Gastronomie d’Istanbul, qui aura lieu du 18 au 21 mars. Pour sa huitième édition, et si vous êtes familiarisés avec le festival, sachez que les meilleurs cuisiniers et adeptes de gastronomie se donnent de nouveau rendez-vous dans la magnifique ville d’Istanbul, qui sera encore plus resplendissante avec l’arrivée du printemps. Les meilleurs plats du monde entier feront partie du panorama de la cuisine locale pendant quatre jours, au Palais des Expositions Tuyap d’Istanbul.

Un concours pour élire le meilleur chef

Il s’agit d’une compétition entre les chefs internationaux et les meilleurs cuisiniers de Turquie, une occasion en or pour faire découvrir de nouveaux plaisirs culinaires aux visiteurs. En récompense à son talent, le gagnant recevra non seulement une médaille mais en plus, les responsables du festival lui remettront un certificat d’accréditation internationale.

Vous n’allez tout de même pas manquer ces nouvelles saveurs ? Le simple fait de se balader dans le Palais, tout en respirant les arômes de chacun des mets, doit être un vrai délice pour les cinq sens. Mmm…qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour déguster des dolmaks (feuilles de vigne fourrées au riz, à la viande ou aux légumes), la typique pizza turque ou Lahmacun et en dessert, une part d’un délicieux baklava (une pâtisserie) avec une tasse de çay (thé turc).

Que demander de plus ? Si tu vas visiter la ville du Bosphore à cette époque de l’année, laisse-toi séduire par le festival pour être au courant des dernières folies culinaires. Rentre sur Appartements à Istanbul et réserve un logement. Le choix le plus confortable et économique pour profiter à fond de ton séjour en Turquie.