Le sexe est une des choses dans la vie de l’être humain qui, sans doute, a une grande importance. D’un autre côté la beauté est, pour beaucoup, à la même place. Ce qui est bien, c’est que maintenant, selon l’a révélé une étude, les deux choses sont en relation. Il s’agit d’une recherche anglaise qui a confirmé que quand une femme fait l’amour, elle produit le double d’œstrogènes, l’hormone qui maintient la peau douce et qui fait briller le cheveu. Cela améliore aussi la cellulite, les tâches et la luminosité de la peau. Et en plus de tout ça, cela élimine également les probabilités d’avoir des dermatites et des irruptions cutanées.

Selon les spécialistes qui ont réalisé cette étude, maintenir des relations sexuelles est un des exercices les plus complets qui soient – plus y compris que quelques sports – puisque cela travaille la zone pelvienne, les fessiers, l’abdomen et les jambes.

Les relations sexuelles sont si importantes que dans certains pays, comme la Suède par exemple, ils ont établi des jours de “fête sexuelle” pour que les couples se détendent et se motivent à maintenir des relations sexuelles pour prendre soin de leur aspect et de leur beauté.

David Weeks, un chercheur du Royal Hospital d’Édimbourg, en Écosse, a commenté qu’une vie sexuelles active est une très bonne thérapie anti-âge. Sa recherche a démontré que maintenir des relations sexuelles au moins trois fois par semaine allonge l’expectative de vie d’une moyenne de dix ans. Il est arrivé à cette conclusion après avoir étudié 3.500 personnes qui maintenaient des relations sexuelles de façon habituelle.

MiLK

C’est pour cela que si tu veux te maintenir jeune et avoir non seulement une bonne santé mais aussi rester belle, le mieux que tu puisses faire est louer un des appartements à Venise et profiter de vacances avec beaucoup de sexe dans une des villes les plus romantiques du monde.

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Traduit par: françoise
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Le peintre d’origine catalane Mario Fortuny a toujours eu une intime relation avec l’Italie, et spécialement avec Venise. C’est la ville dans laquelle sa mère a déménagé en 1889 après avoir vécu des années à Paris et où Mariano continua ses études de peinture, en copiant certains de ses idoles artistiques vénitiens.

Et ce fut Venise où l’artiste multi-facettes a eu l’idée, avec son épouse Henriette, de fonder un atelier d’impression de tissus, et où furent créés certains des tissus les plus emblématiques, qui sont alors devenus célèbres pas seulement dans le monde de la mode, mais aussi dans le monde des Arts décoratifs de son époque.

Aujourd’hui l’héritage de Fortuny renoue ses liens avec Venise dans une fantastique exposition à la Fondazione Musei Civici di Venezia, qui s’inaugure 4 septembre restera ouverte jusqu’au 9 janvier 2011. Sous le titre de «Silk and Velvet » et avec pour but de commémorer cet artiste, certains de ces plus fameux dessins seront exposés, et parmi eux l’extraordinaire série de Delphos, ces délicats vêtements de soie plissée, qui restent aujourd’hui des référents dans le monde de la mode. D’une certaine façon on pourrait dire que certaines de ces incroyables pièces reviennent à leur lieu de naissance, puisque beaucoup d’entre elles furent imaginées dans l’atelier d’impression de tissus du Palazzo Pesaro Orfei.

Pour plus d’informations : https://www.museiciviciveneziani.it/frame.asp?pid=1871&musid=215&sezione=mostre



Heloise Battista

Si vous n’êtes pas déjà familier avec le travail de cet interessant personnage, je recommande louer d’appartements à Venise et visiter l’exposition à la Fondazione di Venezia Civici Musei. Surtout pour ceux qui s’intéressent aux arts de la mode et des arts décoratifs, cette exposition est sans doute l’un des plus intéressants en Europe cette saison.

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Traduit par: osito
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On raconte qu’à une occasion un groupe de journalistes italiens a été stupéfait lorsque une prestigieuse critique d’art amoureuse de Venise qui visitait sa Biennale n’a pas inclus cette ville entre ses favorites, quelque chose que tous considéraient comme acquis. L’écrivain a répondu que c’était parce qu’elle ne considérait pas Venise comme une ville mais plutôt comme une rêve.

Je me souviens que pendant que j’écoutais cette histoire au Café Florian, mes yeux ont cherché une preuve quelconque de la réalité de l’autre côté de la fenêtre qui donne sur la place San Marcos. Je me souviens d’avoir vu alors, comme un reflet dans l’eau peint par Canaletto, la façade du Palacio del Dogo, tremblant. Je me souviens d’avoir regarde de nouveau ma table de marbre et d’avoir pensé que, même si je n’avais jamais autant payé pour un cappuccino, celui-ci sera sans doute le café le moins cher que j’aurais pris dans ma vie.

La sensation de vivre un rêve éveillé existe chaque fois que l’on loue des appartements à Venise. Cette même qualité quasi nomade de territoire liminal entre deux plans de l’existence semble parfumer une bonne partie de la littérature et de la vie inspirées par la ville. Peut-être depuis Marco Polo. Son compagnon de cellule a du avoir la même sensation d’être en train de pénétrer dans un rêve, quand ce premier lui parlait, fébrile, de ses voyages. A moins que, comme le suggère l’historienne Frances Wood, le rêve ne soit autre – nous revenons aux reflets – et Marco Polo ne serait jamais arrivé en Chine ( pourquoi ne mentionne-t-il jamais dans son livre la muraille, ni le papier monnaie, ni l’encre de Chine, ni beaucoup d’autres choses qui devraient forcément avoir attiré l’attention d’un occidental?) mais que ce soit plutôt l’imagination de son compagnon de cellule, poète et écrivain de romances, qui, à partir d’éléments d’histoires écoutées sur l’orient lointain et de ses voyages, aurait crée un rêve chinois pour que Marco Polo et Venise, et après eux nous tous, l’habitions et l’explorions.

Nous pouvons trouver en Casanova, un autre cas d’illustre vénitien funambule du sommeil qui sépare sous forme de fine et perméable ligne frontalière la réalité de la fiction. Alchimiste, mathématicien, chimiste, musicien, scientifique ou inventeur, géomètre, politique, médecin, économiste, séducteur. Comme Marco Polo, qui n’était pas homme de lettres, il est passé à l’histoire pour un voyage qu’il n’a peut-être pas fait et un livre qu’il n’a probablement jamais écrit. Casanova, qui se considérait comme un écrivain par dessus de toute chose, n’est pas passé à l’histoire pour son extraordinaire Histoire de ma vie, mais plutôt pour ses aventures, dont la plus grande partie sont apocryphes, fictives, légendaires, jusqu’au point que beaucoup de gens ont toujours eu des doutes sur la véritable nature de son existence (magicien, fantôme, démon, avatar, fiction?), fascinante dans tous les cas.

Venise est peut-être aussi comme ça. Plus un rêve – fascinant, d’une beauté saisissante, ou même d’un autre monde – qu’une ville.

Paul Oilzum

Paul Oilzum

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Traduit par: françoise
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C’est le Septième est dernier des Sept Sceaux de l’Apocalypse (le dernier livre du Nouveau Testament). Chacun d’eux annonce des prophéties tragiques pour la terre…Les quatre premiers Sceaux correspondent aux quatre Cavaliers de l’Apocalypse, dont les messages menaçants traitent des faux prophètes, des guerres, des famines et de la mort. Le Cinquième Sceau est celui de La Grande Tribulation, qui prévoit des persécutions indiscriminées contre les chrétiens; le Sixième Sceau annonce les catastrophes naturelles, et enfin, le Septième Sceau parle des Sept Trompettes, chacune d’elle se référant à une tragédie.

Ainsi, le Septième Sceau est divisé en différentes étapes, chacune d’elle correspondant à une Trompette. Chaque fois qu’une Trompette sonne, une tragédie secoue la Terre : les quatre premières sont décrites comme des vents violents qui dévastent toute la planète. La cinquième et la sixième apportent avec elles encore plus de guerres (sûrement les deux phases de la Troisième Guerre Mondiale, qui restent à venir). Les trois dernières Trompettes –la cinquième, sixième et septième- sont appelées les Malheurs.

Les Sept Trompettes annoncent alors : tout d’abord, grêle et feu mélangé au sang, un tiers des arbres et de l’herbe verte incendiés. Ensuite, une grande montagne en feu s’écroule dans l’eau et un tiers de la mer se transforme en sang, un tiers des animaux marins meurent et un tiers des bateaux disparaît. La Troisième Trompette parle d’une étoile qui prend feu, tombe sur un tiers des fleuves et des premières sources, rendant les eaux amères et provoquant ainsi leur destruction par empoisonnement. Numéro quatre : un tiers des sols est dévasté, tout comme un tiers de la lune et un tiers des étoiles, ce qui engendre la perte de luminosité d’un tiers des étoiles et un tiers de la journée et de la nuit ne brilleront pas. La cinquième parle de créatures horribles qui surgissent de l’abîme et tourmentent les êtres humains, ceux qui veulent mourir ne mourront pas. Six : un immense troupeau de 200 millions de cavaliers tuera un tiers de la population. C’est la deuxième fois que meurent un si grand nombre de personnes. La première fois, ce fut dans le Quatrième Sceau, quand disparaît un quart de la population, et désormais le dernier tiers restant, meurt. La Septième et dernière Trompette annonce des signes des évènements finaux de cette époque si terrible et l’adoration de Dieu dans les Cieux.

Le Septième Sceau se divise en Sept Trompettes, et la Septième Trompette en Sept Dernières Tragédies (équivalent au Troisième Malheur). C’est seulement quand ce sont réalisées ces prophéties et que la Septième Trompette a sonné, que vient pour la deuxième fois le Christ et que les royaumes du monde se transforment en royaumes du Seigneur. Une fois consommé le « Mystère de Dieu », il n’y a plus de Sceaux ni de prophéties.

Le livre de l’Apocalypse est certainement le plus complexe. Il y en a qui pense même que ce n’est pas un livre qui doit être compris, mais il reste cependant l’un des plus étudiés de l’histoire de l’humanité. La plupart de ses prophéties se sont réalisées de manière plus ou moins forte, mais les experts disent que les puissantes restent à venir: la planète a déjà souffert de terribles maladies, des catastrophes naturelles, des guerres, des famines, des morts et des tragédies…Et probablement, jusqu’à ce que le monde soit monde, et l’homme, Homme, le mal reste à venir. Seul le temps saura si se réalisent les Sept Sceaux.

En attendant, savourons les bonnes choses au jour le jour. La vie est courte et on en profite seulement une fois ! Que dirais-tu d’un voyage ? En Italie, tu pourras découvrir de près le Secret de l’Apocalypse. Commençons par la ville des canaux…Loue Appartements à Venise et souris à la vie.

T’imagines Léonard de Vinci visiter une exposition de Pop Art ? L’évolution de l’art est vraiment incroyable. On est passé du pinceau au produit de consommation et de l’aura de l’unicité d’une œuvre à sa reproduction en série : l’art a toujours été une expression de ce qui se passe dans la société. Dans les années cinquante en Angleterre et aux États-unis, ce qui régnait n’était pas le goût pour les figures angéliques mais un chaos de consommation, de publicité, télévision, bandes dessinées et mode. L’art se réinvente plus que jamais et se massifie tellement que ce mouvement est aujourd’hui encore très apprécié du public.

On le baptisa “Pop” en référence à ce qui est populaire : d’une part, ce qui envahi notre quotidien, et de l’autre, populaire dans le sens de « à la portée de tous.» Pas besoin d’avoir lu La Bible pour apprécier une sérigraphie de Marilyn Monroe ou Mickey Mouse. L’art n’est plus élitiste mais dans la rue et même jusque dans ton frigo…De nos jours, tu peux même te faire tirer le portrait façon Pop Art avec ces couleurs kitsh caractéristiques du génie Andy Warhol.

La culture de masse est devenue art avec d’autres artistes comme Roy Lichtenstein, Robert Rauschenberg ou Jasper Johns. Leurs thèmes favoris étaient alors les icônes de cinéma, les pin-up, le drapeau américain, les personnages de bandes dessinées, les boissons, les boîtes de conserve etc. Tout ceci représenté avec des couleurs criardes qui ne sont pas peintes mais imprimées par des machines… L’art est, dorénavant, un produit à utiliser et à jeter. Sa valeur réside dans sa dimension éphémère et de basse qualité.

Tu savais que Warhol était albinos? C’est pour cela qu’il vivait dans La Fabrique, un atelier d’art avec toutes les fenêtres couvertes pour que la lumière ne le dérange pas. Cet endroit est devenu célèbre grâce à ses fêtes scandaleuses et pour être le nid de stars du porno, drogués, drag-queens, musiciens, libres penseurs et autres personnes bohèmes excentriques et consommateurs d’amphétamines. C’est ici que naît le groupe de rock The Velvet Underground.

Tu aimes l’art? L’Italie est un pays artistique par excellence. Découvre la magie et le calme d’un endroit exotique comme Venise. Loue Appartements à Venise, ils sont idéals et économiques pour déconnecter du stress du quotidien.